Jusqu'à la suspension de l'audience du jeudi 4 février 2016, la défense de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé et le juge Cuno Tarfusser n'avaient pas trouvé un compromis.
Le procès était bloqué, hier, pourrait-on le dire, à cause d'une question d'interprétation ou de définition du terme « interrogatoire ». De fait, alors que c'était au tour de la défense d'interroger le témoin P547, le juge a pris la décision selon laquelle les avocats de Blé Goudé et de Laurent Gbagbo ne pouvaient pas poser des « questions directives » au témoin. Ils avaient trois heures pour leur tour de parole face au témoin, ce jeudi.
Ces questions qui sont refusées à la défense pour l'heure, selon Me Geert Knoops, l'avocat de Charles Blé Goudé, « permettent de faire admettre... suite de l'article sur Soir Info
Le procès était bloqué, hier, pourrait-on le dire, à cause d'une question d'interprétation ou de définition du terme « interrogatoire ». De fait, alors que c'était au tour de la défense d'interroger le témoin P547, le juge a pris la décision selon laquelle les avocats de Blé Goudé et de Laurent Gbagbo ne pouvaient pas poser des « questions directives » au témoin. Ils avaient trois heures pour leur tour de parole face au témoin, ce jeudi.
Ces questions qui sont refusées à la défense pour l'heure, selon Me Geert Knoops, l'avocat de Charles Blé Goudé, « permettent de faire admettre... suite de l'article sur Soir Info