Le fleuve Boubo a été le théâtre d’affrontement, le 2 février 2016, entre les villages Dougako, sous-préfecture de Divo et Mbazo sous-préfecture de Didoko et ce pour du poisson.
Les villageois de Mbazo qui se sont rendus tôt le matin au bord du fleuve pour pêcher, y ont trouvé ceux de Dougako. Pendant que les villageois de Mbazo essayaient d’empêcher l’écoulement de l’eau à l’aide d’une bâche, ceux de Dougako faisaient usage des nasses. Tout allait bien jusqu’au moment où les villageois de Mbazo s’apprêtaient à capturer les poissons après tarissement de la partie choisie. C’est ce moment que Dougako a choisit pour détruire leur bâche qui empêchait le passage de l’eau. Aussitôt, l’eau a repris son écoulement, emportant tous les poissons qui étaient à la portée de Mbazo.
Les populations de Dougako, se disant propriétaires de cette eau, interdisaient à celles de Mbazo d'y pêcher. Ce qui naturellement n'était pas du goût de ces dernières. Il n’en fallait pas plus pour soulever le courroux de ceux-ci. Une bagarre rangée s’en est alors suivie. Les jeunes de Mbazo furent meilleurs. Ils sont chassés et poursuivis ceux de Dougako très loin du fleuve. Du matériel de pêche ainsi que des portables et machettes ont été emportés de part et d’autres. Informé par ses villageois, le chef du village de Dougako a aussitôt porté plainte contre son homologue de Mbazo auprès de la sous-préfecture de Divo le jeudi 4 février 2016. Au moment où nous mettions sous presse les deux chefs étaient encore devant le sous-préfet de Divo. Ces différents avaient opposé Mbazo à Gnéhiri, en 2013. Gnéhiri qui se disait aussi propriétaire avait pris en otage ceux de Mbazo. La bagarre entre ces deux villages s’étaient invitée à la sous-préfecture de Divo où les deux villages avaient été convoqués, faisant de nombreux blessés dont un dans le coma. En ce temps qui le détachement locale de l’Organisation des Nations-unies en Côte d’Ivoire (Onuci) qui avait réglé les différends.
HG
Les villageois de Mbazo qui se sont rendus tôt le matin au bord du fleuve pour pêcher, y ont trouvé ceux de Dougako. Pendant que les villageois de Mbazo essayaient d’empêcher l’écoulement de l’eau à l’aide d’une bâche, ceux de Dougako faisaient usage des nasses. Tout allait bien jusqu’au moment où les villageois de Mbazo s’apprêtaient à capturer les poissons après tarissement de la partie choisie. C’est ce moment que Dougako a choisit pour détruire leur bâche qui empêchait le passage de l’eau. Aussitôt, l’eau a repris son écoulement, emportant tous les poissons qui étaient à la portée de Mbazo.
Les populations de Dougako, se disant propriétaires de cette eau, interdisaient à celles de Mbazo d'y pêcher. Ce qui naturellement n'était pas du goût de ces dernières. Il n’en fallait pas plus pour soulever le courroux de ceux-ci. Une bagarre rangée s’en est alors suivie. Les jeunes de Mbazo furent meilleurs. Ils sont chassés et poursuivis ceux de Dougako très loin du fleuve. Du matériel de pêche ainsi que des portables et machettes ont été emportés de part et d’autres. Informé par ses villageois, le chef du village de Dougako a aussitôt porté plainte contre son homologue de Mbazo auprès de la sous-préfecture de Divo le jeudi 4 février 2016. Au moment où nous mettions sous presse les deux chefs étaient encore devant le sous-préfet de Divo. Ces différents avaient opposé Mbazo à Gnéhiri, en 2013. Gnéhiri qui se disait aussi propriétaire avait pris en otage ceux de Mbazo. La bagarre entre ces deux villages s’étaient invitée à la sous-préfecture de Divo où les deux villages avaient été convoqués, faisant de nombreux blessés dont un dans le coma. En ce temps qui le détachement locale de l’Organisation des Nations-unies en Côte d’Ivoire (Onuci) qui avait réglé les différends.
HG
