Grand-Bassam (Côte d’Ivoire) - Une conférence internationale des pays francophones sur la cybersécurité et la cyberdéfense s’est ouverte, lundi, à Grand-Bassam à l’initiative de l’Autorité de régulation des télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI) et l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), a constaté APA dans cette ville située à 43 km au Sud de la capitale économique ivoirienne.
«Les nouvelles technologies ont permis d’accélérer le développement mais en même temps elles constituent une menace pour notre développement et notre liberté », a estimé à l’ouverture des travaux, Hamed Bakayoko, ministre d’Etat ivoirien, ministre de l’intérieur et de la sécurité.
Pour lui, « l’Afrique ne doit pas être en retard » dans la lutte contre ces maux du numérique. Saluant cette initiative, le ministre en charge de la sécurité a recommandé «de travailler à une coopération transnationale».En 2013, la cyberfraude a coûté 26 milliards de FCFA et 15 milliards de FCFA respectivement à la Côte d’Ivoire et au Sénégal.
Le ministre de la Poste et de l’économie numérique, Bruno Nabagné Koné a pour sa part rappelé que le développement et la promotion de l’industrie numérique font l’objet d’une attention constante de la part du gouvernement ivoirien.
« Le développement soutenu de ce domaine exige un environnement sécurisé, qui donne pleine confiance aux acteurs et consommateurs », a ajouté le ministre Koné, par ailleurs porte-parole du gouvernement, mettant en exergue « la coordination de nos efforts et le partage des expériences ».
Cette rencontre qui s’achève mercredi, vise entre autres à faire l’état des lieux de la cybercriminalité dans les Etats membres, créer un cadre formel de partage d’expériences entre les institutions opérationnelles, développer un plan d’action de renforcement de la cybercriminalité.
Elle se tient en présence, Adama Ouane, Administrateur de l’organisation internationale de la francophonie (OIF) et d’une centaine d’experts internationaux en cybersécurité et cyberdéfense de cet espace.
SY/ls/APA
«Les nouvelles technologies ont permis d’accélérer le développement mais en même temps elles constituent une menace pour notre développement et notre liberté », a estimé à l’ouverture des travaux, Hamed Bakayoko, ministre d’Etat ivoirien, ministre de l’intérieur et de la sécurité.
Pour lui, « l’Afrique ne doit pas être en retard » dans la lutte contre ces maux du numérique. Saluant cette initiative, le ministre en charge de la sécurité a recommandé «de travailler à une coopération transnationale».En 2013, la cyberfraude a coûté 26 milliards de FCFA et 15 milliards de FCFA respectivement à la Côte d’Ivoire et au Sénégal.
Le ministre de la Poste et de l’économie numérique, Bruno Nabagné Koné a pour sa part rappelé que le développement et la promotion de l’industrie numérique font l’objet d’une attention constante de la part du gouvernement ivoirien.
« Le développement soutenu de ce domaine exige un environnement sécurisé, qui donne pleine confiance aux acteurs et consommateurs », a ajouté le ministre Koné, par ailleurs porte-parole du gouvernement, mettant en exergue « la coordination de nos efforts et le partage des expériences ».
Cette rencontre qui s’achève mercredi, vise entre autres à faire l’état des lieux de la cybercriminalité dans les Etats membres, créer un cadre formel de partage d’expériences entre les institutions opérationnelles, développer un plan d’action de renforcement de la cybercriminalité.
Elle se tient en présence, Adama Ouane, Administrateur de l’organisation internationale de la francophonie (OIF) et d’une centaine d’experts internationaux en cybersécurité et cyberdéfense de cet espace.
SY/ls/APA