Des acteurs et responsables informatiques des banques de Côte d’Ivoire ont bénéficié, vendredi, à Abidjan d’un renforcement de capacité sur la cybercriminalité et la protection des données, à l’initiative du groupe panafricain, « Soild-Afrique », a constaté l’Agence de Presse Africaine (APA) sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Selon, Elvis Adou, cadre dans une institution bancaire, « la cybercriminalité est une problématique très importante et cruciale pour toutes les banques. C’est quelque chose qui n’arrive pas qu’aux autres ».
« Il faut toujours chercher à s’informer. C’est un processus assez dynamique. On les voit en général venir de l’extérieur, mais attention le mal peut être à la maison », prévient-il.
Allant dans le même sens, Cadnel Zomahoun, spécialiste en sécurité informatique à Solid-Afrique, a indiqué que « le risque zéro n’existe pas dans ce domaine ». Le formateur a souligné que « le plus important, c’est de lever au maximum le niveau de sécurité en sensibilisant les utilisateurs, pour réduire au maximum les piratages ».
Le Directeur exécutif de l’Association Professionnelle des Banques et Établissements Financiers de Côte d’Ivoire (APBEF-CI), Serges Kouamelan a salué cette initiative importante pour le secteur bancaire en proie régulièrement aux cybercriminels.
« C’est grâce à vous que le secteur bancaire pourra faire face à des fraudes», a-t-il lancé à l’endroit des auditeurs.
Selon un rapport de la Direction de l’informatique des traces technologiques (DITT) « le ratio de victimes résidant en Côte d’Ivoire est de plus en plus important .L’on note 77,13% en 2014 contre 40,94% en 2013. Les résidents des pays francophones restent les principales cibles des actes de cyber-délinquance perpétrés depuis la Côte d’Ivoire.
SY/ls/APA
Selon, Elvis Adou, cadre dans une institution bancaire, « la cybercriminalité est une problématique très importante et cruciale pour toutes les banques. C’est quelque chose qui n’arrive pas qu’aux autres ».
« Il faut toujours chercher à s’informer. C’est un processus assez dynamique. On les voit en général venir de l’extérieur, mais attention le mal peut être à la maison », prévient-il.
Allant dans le même sens, Cadnel Zomahoun, spécialiste en sécurité informatique à Solid-Afrique, a indiqué que « le risque zéro n’existe pas dans ce domaine ». Le formateur a souligné que « le plus important, c’est de lever au maximum le niveau de sécurité en sensibilisant les utilisateurs, pour réduire au maximum les piratages ».
Le Directeur exécutif de l’Association Professionnelle des Banques et Établissements Financiers de Côte d’Ivoire (APBEF-CI), Serges Kouamelan a salué cette initiative importante pour le secteur bancaire en proie régulièrement aux cybercriminels.
« C’est grâce à vous que le secteur bancaire pourra faire face à des fraudes», a-t-il lancé à l’endroit des auditeurs.
Selon un rapport de la Direction de l’informatique des traces technologiques (DITT) « le ratio de victimes résidant en Côte d’Ivoire est de plus en plus important .L’on note 77,13% en 2014 contre 40,94% en 2013. Les résidents des pays francophones restent les principales cibles des actes de cyber-délinquance perpétrés depuis la Côte d’Ivoire.
SY/ls/APA