« Je n’enverrai plus d’Ivoirien à la Cpi ». La phrase d’Alassane Ouattara, à sa sortie d’audience, jeudi, avec François Hollande, n’avait, en soi, rien d’une information renversante : les autorités ivoiriennes ont ces derniers mois, régulièrement, exprimé leur préférence pour une justice nationale après le transfèrement à La Haye, de l’ex-chef d’Etat Laurent Gbagbo, et de Charles Blé Goudé, l’ex-patron des ’’jeunes patriotes’’.
L’argument selon lequel la justice nationale est suffisamment outillée pour juger des ressortissants ivoiriens est d’ailleurs l’un des principaux moyens utilisés par les avocats de la Côte d’Ivoire pour s’opposer au transfèrement de l’ex-Première dame Simone Gbagbo, réclamée par la Cpi.... suite de l'article sur L’Inter
L’argument selon lequel la justice nationale est suffisamment outillée pour juger des ressortissants ivoiriens est d’ailleurs l’un des principaux moyens utilisés par les avocats de la Côte d’Ivoire pour s’opposer au transfèrement de l’ex-Première dame Simone Gbagbo, réclamée par la Cpi.... suite de l'article sur L’Inter