Cinq personnes dont quatre détenus ont été tuées samedi lors d’une fusillade signalée aux environs de 09H Gmt à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA), selon le bilan provisoire d’une source interne.
"Un garde pénitentiaire" et "quatre détenus ont été tués", dont le célèbre prisonnier Yacou le chinois qui était "armé", lors de ces échanges de tirs dont les causes n’ont pas encore clairement été déterminées.
Une dizaine de gardes blessés ont été transférés au Centre hospitalier universitaire (CHU) de la commune de Yopougon, à l’ouest d’Abidjan.
Des détenus "avaient planifié une évasion" et ont "agressé un agent" dans la matinée pour faire diversion, selon une source interne.
Condamné deux fois à 20 ans de prison, Yacouba Coulibaly dit Yacou le Chinois en raison de ses yeux bridés, était devenu une sorte de star locale dont les frasques, réelles ou fantasmées, faisaient régulièrement les gros titres de la presse ivoirienne.
Dans un élément vidéo diffusé mi-décembre sur les réseaux sociaux on peut le voir distribuer des billets de banque pour marquer la célébration de son anniversaire, encadré et acclamé par d’autres détenus dont certains vêtus de T-shirts à son effigie, lors d’une cérémonie au sein de la Maca.
Fin décembre, le régisseur d’alors, Hincléban Koné a été remplacé par l’ancien administrateur du camp pénal de Bouaké (centre ivoirien), Monsan Amonkou.
MYA
"Un garde pénitentiaire" et "quatre détenus ont été tués", dont le célèbre prisonnier Yacou le chinois qui était "armé", lors de ces échanges de tirs dont les causes n’ont pas encore clairement été déterminées.
Une dizaine de gardes blessés ont été transférés au Centre hospitalier universitaire (CHU) de la commune de Yopougon, à l’ouest d’Abidjan.
Des détenus "avaient planifié une évasion" et ont "agressé un agent" dans la matinée pour faire diversion, selon une source interne.
Condamné deux fois à 20 ans de prison, Yacouba Coulibaly dit Yacou le Chinois en raison de ses yeux bridés, était devenu une sorte de star locale dont les frasques, réelles ou fantasmées, faisaient régulièrement les gros titres de la presse ivoirienne.
Dans un élément vidéo diffusé mi-décembre sur les réseaux sociaux on peut le voir distribuer des billets de banque pour marquer la célébration de son anniversaire, encadré et acclamé par d’autres détenus dont certains vêtus de T-shirts à son effigie, lors d’une cérémonie au sein de la Maca.
Fin décembre, le régisseur d’alors, Hincléban Koné a été remplacé par l’ancien administrateur du camp pénal de Bouaké (centre ivoirien), Monsan Amonkou.
MYA