Abidjan - Le directeur exécutif d’Amnesty International Côte d’Ivoire, Kokou Hervé Delmas, a félicité mercredi, les autorités ivoiriennes pour la mise à jour du code pénal sur la suppression de la mort, lors de la présentation à Abidjan, du rapport de son organisation sur la question des droits de l’Homme dans le monde.
« Il y a des améliorations en matière de droit de l’Homme telles que la peine de mort qui a été abolie dans la constitution de 2000. Plus encore dans les faits, depuis lors, aucune personne n’a été exécutée en Côte d’Ivoire et le code pénal a été mis à jour », a indiqué M. Kokou, plaidant pour une « justice équitable » pour tous les citoyens.
En dehors de cette satisfaction, le directeur exécutif a dépeint une situation « préoccupante » des droits de l’Homme en dénonçant l’impunité de personnes soupçonnées de crimes pendant la crise, le surpeuplement des prisons, la répression violente de manifestations, des détentions arbitraires, des arrestations de politiques ou des membres de la société civile, etc.
En cette année 2016 de la commémoration du 35è anniversaire de l’Adoption de la charte africaine, l’Organisation a demandé aux dirigeants africains d’être à l’écoute des mouvements « grandissants » des droits de l’homme sur le continent et d’œuvrer à leurs côtés.
fmo/kam
« Il y a des améliorations en matière de droit de l’Homme telles que la peine de mort qui a été abolie dans la constitution de 2000. Plus encore dans les faits, depuis lors, aucune personne n’a été exécutée en Côte d’Ivoire et le code pénal a été mis à jour », a indiqué M. Kokou, plaidant pour une « justice équitable » pour tous les citoyens.
En dehors de cette satisfaction, le directeur exécutif a dépeint une situation « préoccupante » des droits de l’Homme en dénonçant l’impunité de personnes soupçonnées de crimes pendant la crise, le surpeuplement des prisons, la répression violente de manifestations, des détentions arbitraires, des arrestations de politiques ou des membres de la société civile, etc.
En cette année 2016 de la commémoration du 35è anniversaire de l’Adoption de la charte africaine, l’Organisation a demandé aux dirigeants africains d’être à l’écoute des mouvements « grandissants » des droits de l’homme sur le continent et d’œuvrer à leurs côtés.
fmo/kam