Révélé par plusieurs médias français, Mediapart et le Canard enchaîné, le contenu de l’ordonnance rendue le 2 février par la juge française en charge de l’enquête sur le bombardement du camp français de Bouaké, en Côte d’Ivoire, en 2004, est sans appel. Dans ce document de 12 pages, Sabine Khéris demande au procureur de la République le renvoi devant la Cour de justice de la République (CJR) de trois anciens ministres de Jacques Chirac en poste au moment des faits, le 6 novembre 2004 : Michèle Alliot-Marie (Défense), Dominique de Villepin (Intérieur) et Michel Barnier (Affaires étrangères).
Que contient l’ordonnance ?
La juge française pointe le rôle des trois ministres dans la libération de huit Biélorusses – dont l’un des deux pilotes des... suite de l'article sur Jeune Afrique
Que contient l’ordonnance ?
La juge française pointe le rôle des trois ministres dans la libération de huit Biélorusses – dont l’un des deux pilotes des... suite de l'article sur Jeune Afrique