La présidente de la COP 21 et ministre français à l’Ecologie, Ségolène Royal séjourne en Côte d’Ivoire. Cette visite s’inscrit dans le cadre d’une tournée en Afrique en vue de solliciter le soutien de la Côte d’Ivoire et des pays africains « pour réussir » la présidence de la COP 21 et « traduire de façon concrète les engagements pris à Paris ».
Jeudi, la présidente de la COP 21 et son homologue ivoirien Allah Kouadio Rémi ont animé jeudi à la Résidence de France à Abidjan un Panel sur la problématique des changements climatiques, dans une perspectives post COP 21 de Paris et le rapport à l’Afrique.
Avec son homologue, les échanges ont porté sur les sujets en rapport avec l’énergie renouvelable, la biomasse, la lutte contre la déforestation, l’utilisation de l’énergie solaire et des énergies renouvelables. La présidente de la COP 21 a insisté sur le fait que les moyens promis aux pays africains soient affectés aux projets qu’ils auront eux-mêmes choisi. « En Côte d’Ivoire on a des projets extraordinaires qui correspondent à l’Accord de Paris sur le climat », a dit la présidente de la COP 21.
Le ministre ivoirien de l’Environnement et du Développement durable, Allah Kouadio Rémi, a au cours de ce Panel, exposé la stratégie de la Côte d’Ivoire pour une exploitation optimale de l’Accord de Paris ». Le ministre ivoirien dit être confiant que les engagements pris lors de la COP 21 seront respectés.
Vendredi la ministre française de l’Ecologie a visité le Parc national du Banco, en compagnie des ministres Allah Kouadio Rémi et Anne Ouloto de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement. La présidente de la COP 21 s’est imprégnée du riche patrimoine du point de la Faune et de la Flore dont regorge ce Parc situé en plein cœur d’Abidjan et qui s’étend sur une superficie de 3474 hectares. Il est un exemple de forêt primaire, avec des espèces de bois devenues rares.
La présidente de la COP 21, la ministre française de l’Ecologie Ségolène Royal doit rencontrer durant son séjour à Abidjan, le président de la Banque Africaine de Développement (BAD), Akinwumi Adesina et le représentant de la Banque mondiale. Au centre des échanges, le financement des pays africains conformément aux recommandations de la COP 21.
Elisée B.
Jeudi, la présidente de la COP 21 et son homologue ivoirien Allah Kouadio Rémi ont animé jeudi à la Résidence de France à Abidjan un Panel sur la problématique des changements climatiques, dans une perspectives post COP 21 de Paris et le rapport à l’Afrique.
Avec son homologue, les échanges ont porté sur les sujets en rapport avec l’énergie renouvelable, la biomasse, la lutte contre la déforestation, l’utilisation de l’énergie solaire et des énergies renouvelables. La présidente de la COP 21 a insisté sur le fait que les moyens promis aux pays africains soient affectés aux projets qu’ils auront eux-mêmes choisi. « En Côte d’Ivoire on a des projets extraordinaires qui correspondent à l’Accord de Paris sur le climat », a dit la présidente de la COP 21.
Le ministre ivoirien de l’Environnement et du Développement durable, Allah Kouadio Rémi, a au cours de ce Panel, exposé la stratégie de la Côte d’Ivoire pour une exploitation optimale de l’Accord de Paris ». Le ministre ivoirien dit être confiant que les engagements pris lors de la COP 21 seront respectés.
Vendredi la ministre française de l’Ecologie a visité le Parc national du Banco, en compagnie des ministres Allah Kouadio Rémi et Anne Ouloto de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement. La présidente de la COP 21 s’est imprégnée du riche patrimoine du point de la Faune et de la Flore dont regorge ce Parc situé en plein cœur d’Abidjan et qui s’étend sur une superficie de 3474 hectares. Il est un exemple de forêt primaire, avec des espèces de bois devenues rares.
La présidente de la COP 21, la ministre française de l’Ecologie Ségolène Royal doit rencontrer durant son séjour à Abidjan, le président de la Banque Africaine de Développement (BAD), Akinwumi Adesina et le représentant de la Banque mondiale. Au centre des échanges, le financement des pays africains conformément aux recommandations de la COP 21.
Elisée B.