La recherche agronomique constitue un enjeu majeur pour la définition des politiques de développement agricole et socio-économique. C’est fort de ce constat que l’Association ivoirienne des sciences agronomiques (Aisa) a organisé du 16 au 20 février 2016 à la fondation Felix Houphouët Boigny de Yamoussoukro un congrès sur le thème : Agriculture durable et sécurité alimentaire en Afrique : Valorisation des connaissances alimentaires ‘’. Une rencontre scientifique placée, sous la présidence de Mme Ly Ramatha, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
Lors de la cérémonie inaugurale de ce congrès qui s’est tenu le mercredi 17 février 2016, Dr Fofana Mamadou, représentant du Président de la République, a indiqué que cette rencontre de chercheurs et universitaires internationaux vient à point d’orgue. Dans la mesure où le dernier Conseil des ministres a annoncé le début de la transformation agricole pour la période 2015-2020. C’est pourquoi, au nom du Président, Alassane Ouattara, il a demandé aux congressistes « de s’inscrire dans une démarche rigoureuse afin de donner, au terme de ces échanges, des solutions pouvant aider l’Afrique à être autosuffisante sur le plan alimentaire ». Par ailleurs, il s’est appesanti sur la transformation de la recherche agricole en business agricole, trouver des stratégies pour amener les jeunes à s’intéresser à la recherche et à l’agriculture, ce qui constitue une importe solution à la question du chômage.
Pour M. Katy Coulibaly, représentant de Mme la ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, l’enjeu de ce congrès s’inscrit dans un intérêt commun de répondre aux objectifs d’amélioration de la productivité agricole (Ppaao), de transformation de l’agriculture et son adaptation aux changements globaux (Cop 21). Aussi, par la diffusion et la prise en compte des acquis récents de la recherche agricole, gage de sécurité et de souveraineté alimentaire pour les populations d’Afrique « Il faut dès maintenant soutenir la transformation de nos produits par une agro-industrie structurée, à dimension humaine »,a indiqué le représentant de la Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
De son avis ce genre d’initiative favorise la présentation des opportunités d’affaire, au niveau agricole en faveur des jeunes diplômés de nos systèmes éducatifs.
Quant au Président de l’Aisa, le Professeur Da Costa Sébastien, il a remercié la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, pour son engagement qui a rendu possible l’effectivité de ce congrès international, le ministre de l’Agriculture et celui des ressources animales et halieutique et l’ensemble des partenaires nationaux et internationaux qui ont rendu possible ce congrès. Il a montré toute l’importance de ce congrès qui fait de Yamoussoukro la capitale de la recherche agronomique. Pour le professeur Da Costa convaincu du plein potentiel des agronomes africains en général et ivoirien en particulier « le financement de la recherche doit apparaitre au premier rang des priorités des choix stratégiques de nos gouvernants », a-t-il plaidé. Il a vivement remercié le Président de la république Son Excellence Alassane Ouattara pour son soutien à l’égard du congrès international AISA 2016
Notons que cette plateforme a regroupe environs 2000 participants originaires du Burkina Faso, de la République Démocratique du Congo, Nigeria, Sénégal, Niger, France et de la Côte d’Ivoire.
Pour les participants, ce genre d’initiative favorise la présentation des opportunités d’affaires, au niveau agricole et révèle les innovations technologiques pouvant booster l’agriculture, socle de l’économie ivoirienne en particulier. Le Conseil Café-Cacao, le CSRS, l’ANADER, l’INPHB, l’IRD, l’ANASEMCI, l’ESA, l’ICRAF, l’INADES, le CNRA, les universités publiques, la FAO, l’ANOPACI et bien d’autres structures ont pris part à ce congrès de haut niveau.
Lors de la cérémonie inaugurale de ce congrès qui s’est tenu le mercredi 17 février 2016, Dr Fofana Mamadou, représentant du Président de la République, a indiqué que cette rencontre de chercheurs et universitaires internationaux vient à point d’orgue. Dans la mesure où le dernier Conseil des ministres a annoncé le début de la transformation agricole pour la période 2015-2020. C’est pourquoi, au nom du Président, Alassane Ouattara, il a demandé aux congressistes « de s’inscrire dans une démarche rigoureuse afin de donner, au terme de ces échanges, des solutions pouvant aider l’Afrique à être autosuffisante sur le plan alimentaire ». Par ailleurs, il s’est appesanti sur la transformation de la recherche agricole en business agricole, trouver des stratégies pour amener les jeunes à s’intéresser à la recherche et à l’agriculture, ce qui constitue une importe solution à la question du chômage.
Pour M. Katy Coulibaly, représentant de Mme la ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, l’enjeu de ce congrès s’inscrit dans un intérêt commun de répondre aux objectifs d’amélioration de la productivité agricole (Ppaao), de transformation de l’agriculture et son adaptation aux changements globaux (Cop 21). Aussi, par la diffusion et la prise en compte des acquis récents de la recherche agricole, gage de sécurité et de souveraineté alimentaire pour les populations d’Afrique « Il faut dès maintenant soutenir la transformation de nos produits par une agro-industrie structurée, à dimension humaine »,a indiqué le représentant de la Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.
De son avis ce genre d’initiative favorise la présentation des opportunités d’affaire, au niveau agricole en faveur des jeunes diplômés de nos systèmes éducatifs.
Quant au Président de l’Aisa, le Professeur Da Costa Sébastien, il a remercié la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, pour son engagement qui a rendu possible l’effectivité de ce congrès international, le ministre de l’Agriculture et celui des ressources animales et halieutique et l’ensemble des partenaires nationaux et internationaux qui ont rendu possible ce congrès. Il a montré toute l’importance de ce congrès qui fait de Yamoussoukro la capitale de la recherche agronomique. Pour le professeur Da Costa convaincu du plein potentiel des agronomes africains en général et ivoirien en particulier « le financement de la recherche doit apparaitre au premier rang des priorités des choix stratégiques de nos gouvernants », a-t-il plaidé. Il a vivement remercié le Président de la république Son Excellence Alassane Ouattara pour son soutien à l’égard du congrès international AISA 2016
Notons que cette plateforme a regroupe environs 2000 participants originaires du Burkina Faso, de la République Démocratique du Congo, Nigeria, Sénégal, Niger, France et de la Côte d’Ivoire.
Pour les participants, ce genre d’initiative favorise la présentation des opportunités d’affaires, au niveau agricole et révèle les innovations technologiques pouvant booster l’agriculture, socle de l’économie ivoirienne en particulier. Le Conseil Café-Cacao, le CSRS, l’ANADER, l’INPHB, l’IRD, l’ANASEMCI, l’ESA, l’ICRAF, l’INADES, le CNRA, les universités publiques, la FAO, l’ANOPACI et bien d’autres structures ont pris part à ce congrès de haut niveau.