1-Les faits
Le syndicat national du personnel de l’enseignement supérieur de Côte d’Ivoire (SYNAPES-CI) , section de l’université Lorougnon Guédé de Daloa réclame :
-le paiement des heures supplémentaires de surveillance des examens et concours 2014-2015 ;
-le paiement des frais de mission de 2014-2015 ;
-les décharges des travaux en atelier de 2014-2015.
Après plusieurs démarches infructueuses du syndicat selon le secrétaire général adjoint du SYNAPES-CI, Attaba Maho Claude, auprès de la présidence de l’université, la section (SYNAPES-CI) de Daloa a marqué un arrêt de travail. Prévu pour durer 72h, cette grève dure bientôt deux semaines et gangrène l’université de Daloa. Excédés, les étudiants de ladite université ont organisé une marche pacifique à Daloa pour interpeller les autorités de la ville sur cette situation inexplicable qui dure et qui perdure afin d’exprimer leur envie de reprendre le chemin de l’école.
2-Notre analyse
La jeunesse du Front Populaire Ivoirien (JFPI) a déjà interpellé à plusieurs reprises les autorités universitaires sur leur insouciance vis-à-vis des problèmes en milieu scolaire et universitaire. Cette situation particulière à Daloa jette encore une fois de plus le discrédit sur la capacité de nos autorités universitaires à créer les conditions d’une formation efficiente aux étudiants. Une telle situation, a-t-on besoin de le signifier, met en mal la cohésion sociale déjà précaire et démotive sérieusement l’ardeur des enseignants qui travaillent déjà dans des conditions précaires.
3- Notre position
La JFPI dénonce le laxisme constant et permanant des autorités universitaires en général, et particulièrement, celles de l’université Lorougnon Guédé dirigée par le Professeur Tidou Habiba Sanogo, incapables de trouver des solutions idoines aux préoccupations des enseignants.
Par conséquent, la JFPI demande la démission pure et simple de la présidente de ladite université.
-Apporte son soutien indéfectible au personnel enseignant en se basant sur le principe sacro-saint «que tout travail mérite salaire».
-Apporte également son soutien à l’ensemble des étudiants de l’université de Daloa et les assure qu’elle est préoccupée par la situation actuelle.
-Demande aux autorités de trouver dans les meilleurs délais et dans le dialogue, une solution adéquate aux problèmes légitimes posés par le syndicat afin que les cours reprennent leur rythme normal à l’université Lorougnon Guédé de Daloa.
Fait à Abidjan,
le 11 mars 2016
Pour la Jeunesse du Front Populaire Ivoirien (JFPI)
Le Secrétaire national
Konaté Navigué
Le syndicat national du personnel de l’enseignement supérieur de Côte d’Ivoire (SYNAPES-CI) , section de l’université Lorougnon Guédé de Daloa réclame :
-le paiement des heures supplémentaires de surveillance des examens et concours 2014-2015 ;
-le paiement des frais de mission de 2014-2015 ;
-les décharges des travaux en atelier de 2014-2015.
Après plusieurs démarches infructueuses du syndicat selon le secrétaire général adjoint du SYNAPES-CI, Attaba Maho Claude, auprès de la présidence de l’université, la section (SYNAPES-CI) de Daloa a marqué un arrêt de travail. Prévu pour durer 72h, cette grève dure bientôt deux semaines et gangrène l’université de Daloa. Excédés, les étudiants de ladite université ont organisé une marche pacifique à Daloa pour interpeller les autorités de la ville sur cette situation inexplicable qui dure et qui perdure afin d’exprimer leur envie de reprendre le chemin de l’école.
2-Notre analyse
La jeunesse du Front Populaire Ivoirien (JFPI) a déjà interpellé à plusieurs reprises les autorités universitaires sur leur insouciance vis-à-vis des problèmes en milieu scolaire et universitaire. Cette situation particulière à Daloa jette encore une fois de plus le discrédit sur la capacité de nos autorités universitaires à créer les conditions d’une formation efficiente aux étudiants. Une telle situation, a-t-on besoin de le signifier, met en mal la cohésion sociale déjà précaire et démotive sérieusement l’ardeur des enseignants qui travaillent déjà dans des conditions précaires.
3- Notre position
La JFPI dénonce le laxisme constant et permanant des autorités universitaires en général, et particulièrement, celles de l’université Lorougnon Guédé dirigée par le Professeur Tidou Habiba Sanogo, incapables de trouver des solutions idoines aux préoccupations des enseignants.
Par conséquent, la JFPI demande la démission pure et simple de la présidente de ladite université.
-Apporte son soutien indéfectible au personnel enseignant en se basant sur le principe sacro-saint «que tout travail mérite salaire».
-Apporte également son soutien à l’ensemble des étudiants de l’université de Daloa et les assure qu’elle est préoccupée par la situation actuelle.
-Demande aux autorités de trouver dans les meilleurs délais et dans le dialogue, une solution adéquate aux problèmes légitimes posés par le syndicat afin que les cours reprennent leur rythme normal à l’université Lorougnon Guédé de Daloa.
Fait à Abidjan,
le 11 mars 2016
Pour la Jeunesse du Front Populaire Ivoirien (JFPI)
Le Secrétaire national
Konaté Navigué
