Le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD) a formé 773 policiers sur la gestion des scènes de crimes pour leur permettre de mener de véritables enquêtes sur les lieux de crimes. C’était le mardi 15 mars dernier à l’école nationale de Police à Cocody. A cette occasion, les policiers ont été instruits entre autres, sur la prévention et la lutte contre le terrorisme, la police judiciaire, la lutte contre les crimes organisés, les stupéfiants et la gestion des scènes de crime. Le commissaire Sikeli Lebato, représentant le directeur général de la Police nationale, Bredou M’Bia, a indiqué que les participants doivent utiliser à bon escient la formation qu’ils ont reçue gratuitement du PNUD.
Pour lui, après cette formation le policier ivoirien doit être capable de faire face à toutes sortes de situation. Quant au capitaine Koné Gisèle, formatrice en gestion de scène de crimes, elle a montré aux policiers les différentes méthodes pour appréhender les suspects sur les lieux de crimes. Elle a expliqué qu’une fois le policier enquêteur est sur les lieux du crime, il devra faire une photographie générale de la scène, identifier toutes traces et indices. Il est impératif qu’il sache poser les cavaliers, prélever les indices. Cette étape terminée, ces indices doivent être convoyées au laboratoire pour analyse.
Ensuite le rapport final est remis à l’officier pour le résultat définitif. M. Konaté Mamadou, coordonnateur du projet d’appui au renforcement de capacités de la police nationale (PARCP) a pour sa part, rappelé que 3770 fonctionnaires avaient été formés à la sécurisation des élections et à la prévention contre le virus Ebola. Cette formation est la troisième phase du projet qui a permis l’installation des cellules opérationnelles de formation continue dans les 12 préfectures de police que compte la Côte d’Ivoire. Elles seront animées par les animateurs-relais et les formateurs. Le but étant la redynamisation de la stratégie de formation continue de la direction générale de la police nationale. Cette formation est financée par la coopération japonaise et mise en œuvre par le PNUD.
Rosemonde Kouadio
Photo et légende : DG de la Police nationale
Pour lui, après cette formation le policier ivoirien doit être capable de faire face à toutes sortes de situation. Quant au capitaine Koné Gisèle, formatrice en gestion de scène de crimes, elle a montré aux policiers les différentes méthodes pour appréhender les suspects sur les lieux de crimes. Elle a expliqué qu’une fois le policier enquêteur est sur les lieux du crime, il devra faire une photographie générale de la scène, identifier toutes traces et indices. Il est impératif qu’il sache poser les cavaliers, prélever les indices. Cette étape terminée, ces indices doivent être convoyées au laboratoire pour analyse.
Ensuite le rapport final est remis à l’officier pour le résultat définitif. M. Konaté Mamadou, coordonnateur du projet d’appui au renforcement de capacités de la police nationale (PARCP) a pour sa part, rappelé que 3770 fonctionnaires avaient été formés à la sécurisation des élections et à la prévention contre le virus Ebola. Cette formation est la troisième phase du projet qui a permis l’installation des cellules opérationnelles de formation continue dans les 12 préfectures de police que compte la Côte d’Ivoire. Elles seront animées par les animateurs-relais et les formateurs. Le but étant la redynamisation de la stratégie de formation continue de la direction générale de la police nationale. Cette formation est financée par la coopération japonaise et mise en œuvre par le PNUD.
Rosemonde Kouadio
Photo et légende : DG de la Police nationale
