Le Gouvernement du Royaume du Maroc a pris une série de mesures pour protester contre les propos du Secrétaire général des Nations -unies, Ban Ki-moon sur la question du Sahara lors de sa récente visite dans cette région.
Selon un communiqué de presse de l’Ambassade du Maroc en Côte d’Ivoire transmis à APA , des mesures immédiates ont été prise par le royaume. Il s’agit entre autres, d’une « réduction significative, dans les jours qui viennent, d’une grande partie de la composante civile et plus particulièrement le segment politique de la Mission des Nations-unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO).
Le Maroc a également décidé de l’annulation de la contribution volontaire qu’il accorde au fonctionnement de cette mission ainsi que l’examen des modalités de retrait des contingents marocains engagés dans les Opérations de maintien de la Paix.
Le Ministre des affaires étrangères et de la coopération, Salaheddine Mezouar, a été dépêché, lundi dernier, à New York, afin de livrer « les protestations officielles du Gouvernement marocain au sujet des « déclarations inacceptables » et «agissements inadmissibles » de Ban Ki-moon durant sa récente visite dans la région.
Au cours de l’entretien M. Mezouar a réitéré « l’urgence pour le Secrétaire Général de ne pas verser dans les tentatives dévoilées et visant à s’attaquer à l’initiative marocaine d’autonomie qui garde toute sa prééminence dans les résolutions du conseil de sécurité ».
Selon le royaume chérifien, le terme « occupation » utilisé pour qualifier la présence du Maroc dans son Sahara est « une ineptie juridique et une erreur politique grave ».
Le Secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a terminé le dimanche 6 mars une visite dans le camp de réfugiés de Tindouf, en Algérie, et dans la partie du Sahara occidental géré par les indépendantistes du Polisario où il a affirmé que la mission locale de l’ONU était prête à organiser un référendum d’auto-détermination.
SY/ls/APA
Selon un communiqué de presse de l’Ambassade du Maroc en Côte d’Ivoire transmis à APA , des mesures immédiates ont été prise par le royaume. Il s’agit entre autres, d’une « réduction significative, dans les jours qui viennent, d’une grande partie de la composante civile et plus particulièrement le segment politique de la Mission des Nations-unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO).
Le Maroc a également décidé de l’annulation de la contribution volontaire qu’il accorde au fonctionnement de cette mission ainsi que l’examen des modalités de retrait des contingents marocains engagés dans les Opérations de maintien de la Paix.
Le Ministre des affaires étrangères et de la coopération, Salaheddine Mezouar, a été dépêché, lundi dernier, à New York, afin de livrer « les protestations officielles du Gouvernement marocain au sujet des « déclarations inacceptables » et «agissements inadmissibles » de Ban Ki-moon durant sa récente visite dans la région.
Au cours de l’entretien M. Mezouar a réitéré « l’urgence pour le Secrétaire Général de ne pas verser dans les tentatives dévoilées et visant à s’attaquer à l’initiative marocaine d’autonomie qui garde toute sa prééminence dans les résolutions du conseil de sécurité ».
Selon le royaume chérifien, le terme « occupation » utilisé pour qualifier la présence du Maroc dans son Sahara est « une ineptie juridique et une erreur politique grave ».
Le Secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a terminé le dimanche 6 mars une visite dans le camp de réfugiés de Tindouf, en Algérie, et dans la partie du Sahara occidental géré par les indépendantistes du Polisario où il a affirmé que la mission locale de l’ONU était prête à organiser un référendum d’auto-détermination.
SY/ls/APA