La Commission électorale indépendante (CEI) ivoirienne est gourmande et cela agace le chef de l'État. En 2016, elle a été dotée de 22,4 milliards de F CFA - une somme qui doit permettre de financer le référendum constitutionnel et les législatives.
Mais son président, Youssouf Bakayoko, a déjà laissé entendre que cela ne suffirait pas, et les factures commencent à s’accumuler. Pourquoi ? Parce que l’année dernière un dépassement de 17 milliards a été constaté et que le budget 2016 doit aussi servir à le financer.
Tout cela déplaît fortement à Alassane Ouattara. L’État, qui ne peut pas auditer les comptes de la CEI, puisque celle-ci est indépendante, rechigne donc à lui accorder une rallonge budgétaire. suite de l'article sur Jeune Afrique
Mais son président, Youssouf Bakayoko, a déjà laissé entendre que cela ne suffirait pas, et les factures commencent à s’accumuler. Pourquoi ? Parce que l’année dernière un dépassement de 17 milliards a été constaté et que le budget 2016 doit aussi servir à le financer.
Tout cela déplaît fortement à Alassane Ouattara. L’État, qui ne peut pas auditer les comptes de la CEI, puisque celle-ci est indépendante, rechigne donc à lui accorder une rallonge budgétaire. suite de l'article sur Jeune Afrique