La branche du Front populaire ivoirien (FPI) conduite par Aboudramane Sangaré, a estimé mardi que Sam Jichi dit "Sam l’Africain", témoin au procès conjoint de l’ex-président Laurent Gbagbo et de l’ancien leader des "jeunes patriotes", Charles Blé Goudé, "a fait preuve de courage" et son témoignage a contribué "à remettre des faits dans leur juste contexte", dans une note.
Le FPI "note que Sam l’Africain a fait preuve de courage, en témoignant à visage découvert", indique le communiqué signé par le porte-parole adjoint de cette branche Boubacar Koné précisant qu’il (Sam l’Africain) "est resté tout à fait naturel et a dit à la face du monde ce qu’il croit être la vérité sur la crise ivoirienne".
Premier à comparaître à visage découvert depuis le début du procès le 28 janvier, le président de la Nouvelle alliance de la Côte d’Ivoire pour la patrie (NACIP, opposition), Sam l’Africain, avait déclaré n’avoir "rien à cacher" au premier jour de sa comparution, le 07 mars.
Annoncé comme un témoin à charge, cet ancien membre de la "Galaxie patriotique" (proche du pouvoir de M. Gbagbo), a présenté l’ex-chef d’Etat comme un "démocrate" et un "père" pour lui, estimant que les violences commises pendant la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011 en Côte d’Ivoire "n’étaient pas planifiées".
Selon cette branche du FPI, son "témoignage a contribué à remettre dans leur juste contexte (…) des faits que (…) le bureau du procureur avaient soustrait de leur vrai contexte".
M. Jichi avait affirmé vendredi au dernier jour de sa comparution à la Cour pénale internationale, à La Haye que son témoignage l’a soulagé d’un "fardeau",
Lundi Michel Gbagbo,l e fils de l’ex-président lui a rendu visite pour "saluer la sincérité" de son témoignage.
Laurent Gbagbo et Blé Goudé sont poursuivis pour leur rôle présumé dans les actes de violence dont des "crimes contre l’humanité", commis lors de la crise postélectorale de novembre 2010 à avril 2011 en Côte d’Ivoire.
ABL
Le FPI "note que Sam l’Africain a fait preuve de courage, en témoignant à visage découvert", indique le communiqué signé par le porte-parole adjoint de cette branche Boubacar Koné précisant qu’il (Sam l’Africain) "est resté tout à fait naturel et a dit à la face du monde ce qu’il croit être la vérité sur la crise ivoirienne".
Premier à comparaître à visage découvert depuis le début du procès le 28 janvier, le président de la Nouvelle alliance de la Côte d’Ivoire pour la patrie (NACIP, opposition), Sam l’Africain, avait déclaré n’avoir "rien à cacher" au premier jour de sa comparution, le 07 mars.
Annoncé comme un témoin à charge, cet ancien membre de la "Galaxie patriotique" (proche du pouvoir de M. Gbagbo), a présenté l’ex-chef d’Etat comme un "démocrate" et un "père" pour lui, estimant que les violences commises pendant la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011 en Côte d’Ivoire "n’étaient pas planifiées".
Selon cette branche du FPI, son "témoignage a contribué à remettre dans leur juste contexte (…) des faits que (…) le bureau du procureur avaient soustrait de leur vrai contexte".
M. Jichi avait affirmé vendredi au dernier jour de sa comparution à la Cour pénale internationale, à La Haye que son témoignage l’a soulagé d’un "fardeau",
Lundi Michel Gbagbo,l e fils de l’ex-président lui a rendu visite pour "saluer la sincérité" de son témoignage.
Laurent Gbagbo et Blé Goudé sont poursuivis pour leur rôle présumé dans les actes de violence dont des "crimes contre l’humanité", commis lors de la crise postélectorale de novembre 2010 à avril 2011 en Côte d’Ivoire.
ABL