La deuxième phase du projet 35 NRBC s’est ouverte ce Mardi 29 Mars à la salle RC 14 de l’espace CRRAE UMOA au Plateau. Cette dernière marque le démarrage d’une série de formation qui visent à renforcer les capacités des acteurs locaux sur la gestion des déchets chimiques et biologiques dangereux. Ces ateliers seront pilotés par la Fondation internationale et ibéro-américain d’administration et politiques publiques (FIIAPP) et dureront trois jours.
« Ces ateliers s’inscrivent dans l’optique de permettre à nos institutions de disposer à la fois d’acteurs compétents, à même de gérer les déchets dangereux mais également de doter la Côte d ‘Ivoire d’infrastructures modernes en la matière » a indiqué d’entrée de jeu Touré Kader, Président du Comité National NRBC.
Selon M. Amon Koffi, représentant le ministre Allah Kouadio Rémi, en charge de l’Environnement et du Développement durable, ces ateliers mettront l’accent sur le développement des compétences et le choix des meilleurs technologies pour une gestion écologique, rationnelle et durable des déchets chimiques, et biologiques dangereux car « c’est pour répondre à un besoin de renforcement des capacités des acteurs nationaux que ces deux formations ont été initiées par le Centre d’Excellence NRBC de l’Union Européenne ».
Le Projet 35 NRBC, est un projet créé en 2014 et financé par la Commission européenne Direction Générale Développement et Coopération (DG DEVCO) dans le cadre des Centres d’Excellence NRBC (CdE) avec pour objectifs d’améliorer la gestion des produits chimiques et des déchets biologiques dangereux dans 8 pays entre autres la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Mauritanie, le Libéria, le Maroc, la Tunisie, le Sénégal... Il a pour but d’aborder les aspects relatifs à l’échantillonnage, la détection, la mesure, la protection, la décontamination et bien d’autres sujets encore… Au delà du projet 35, la Cote d’Ivoire est partie prenante du projet 21 relatif au contrôle aux frontières des matières radiologiques, biologiques et nucléaires, du projet 19 relatif à la sécurité de l’information, au projet 41 relatif aux installations chimiques à haut risque et du projet 48 relatif à la gestion régional des épidémies.
MIA
« Ces ateliers s’inscrivent dans l’optique de permettre à nos institutions de disposer à la fois d’acteurs compétents, à même de gérer les déchets dangereux mais également de doter la Côte d ‘Ivoire d’infrastructures modernes en la matière » a indiqué d’entrée de jeu Touré Kader, Président du Comité National NRBC.
Selon M. Amon Koffi, représentant le ministre Allah Kouadio Rémi, en charge de l’Environnement et du Développement durable, ces ateliers mettront l’accent sur le développement des compétences et le choix des meilleurs technologies pour une gestion écologique, rationnelle et durable des déchets chimiques, et biologiques dangereux car « c’est pour répondre à un besoin de renforcement des capacités des acteurs nationaux que ces deux formations ont été initiées par le Centre d’Excellence NRBC de l’Union Européenne ».
Le Projet 35 NRBC, est un projet créé en 2014 et financé par la Commission européenne Direction Générale Développement et Coopération (DG DEVCO) dans le cadre des Centres d’Excellence NRBC (CdE) avec pour objectifs d’améliorer la gestion des produits chimiques et des déchets biologiques dangereux dans 8 pays entre autres la Côte d’Ivoire, le Gabon, la Mauritanie, le Libéria, le Maroc, la Tunisie, le Sénégal... Il a pour but d’aborder les aspects relatifs à l’échantillonnage, la détection, la mesure, la protection, la décontamination et bien d’autres sujets encore… Au delà du projet 35, la Cote d’Ivoire est partie prenante du projet 21 relatif au contrôle aux frontières des matières radiologiques, biologiques et nucléaires, du projet 19 relatif à la sécurité de l’information, au projet 41 relatif aux installations chimiques à haut risque et du projet 48 relatif à la gestion régional des épidémies.
MIA