Abidjan, Le ministre de l’Enseignement technique te de la Formation professionnelle, Paul Koffi Koffi, a engagé la relance de la réforme de cet ordre d’enseignement en procédant jeudi à Grand-Bassam, à l’ouverture d’un atelier à ce propos, en présence notamment de la ministre de la Promotion de la femme, de la Famille et de la Protection de l’enfant, Yao Euphrasie, et celui de la Promotion de la jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique, Sidi Touré.
Selon Paul Koffi Koffi, il est impérieux de relancer cette réforme entamée en 2009 pour permettre à la Côte d’Ivoire de disposer dans les meilleurs délais, d’une politique, des stratégies et des plans d’actions pour cet ordre d’enseignement à court, moyen et long termes. Et ce, conformément au plan national de développement (PND) 2016-2020, engageant ses « partenaires » à relever un certain nombre de défis.
« Le premier défis à relever est de faire en sorte que chaque jeune Ivoirien ait à choisir son ordre d’enseignement dans les mêmes conditions (…), le second est de faire en sorte que l’apprenant puisse bénéficier d’un enseignement et d’une formation professionnelle de qualité où il acquiert un savoir faire pour accroître ses chances d’obtenir un emploi (…), le troisième est de donner l’opportunité aux travailleurs de pouvoir se perfectionner pour améliorer leur productivité (…) », a indiqué Paul Koffi Koffi.
Pour M. Koffi, l’enseignement technique et la formation professionnelle doivent répondre au défi de l’innovation et permettre au secteur privé de jouer son rôle dans la formation des hommes et des femmes afin d’élever la qualification de la main d’œuvre. « L’enseignement technique et la formation professionnelle ne doit plus être considéré comme une option par défaut, mais un choix motivé », a-t-il estimé.
Auparavant, le représentant du secteur privé, notamment la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), N’Dri Koffi, a assuré de la disponibilité du patronat à oeuvrer de concert avec le ministère pour atteindre les résultats escomptés. « Nous voulons vous assurer de notre disponibilité à vous accompagner dans votre mission, vous encourager dans votre effort à transformer le secteur pour qu’il soit conforme aux besoins de l’entreprise », a rassuré le représentant de Jean Kacou Diagou.
Durant trois jours, les partenaires et acteurs du système de l’enseignement technique et de la formation professionnelle vont réfléchir pour apporter un « souffle nouveau », à cet ordre d’enseignement.
(AIP)
gak/cmas
Selon Paul Koffi Koffi, il est impérieux de relancer cette réforme entamée en 2009 pour permettre à la Côte d’Ivoire de disposer dans les meilleurs délais, d’une politique, des stratégies et des plans d’actions pour cet ordre d’enseignement à court, moyen et long termes. Et ce, conformément au plan national de développement (PND) 2016-2020, engageant ses « partenaires » à relever un certain nombre de défis.
« Le premier défis à relever est de faire en sorte que chaque jeune Ivoirien ait à choisir son ordre d’enseignement dans les mêmes conditions (…), le second est de faire en sorte que l’apprenant puisse bénéficier d’un enseignement et d’une formation professionnelle de qualité où il acquiert un savoir faire pour accroître ses chances d’obtenir un emploi (…), le troisième est de donner l’opportunité aux travailleurs de pouvoir se perfectionner pour améliorer leur productivité (…) », a indiqué Paul Koffi Koffi.
Pour M. Koffi, l’enseignement technique et la formation professionnelle doivent répondre au défi de l’innovation et permettre au secteur privé de jouer son rôle dans la formation des hommes et des femmes afin d’élever la qualification de la main d’œuvre. « L’enseignement technique et la formation professionnelle ne doit plus être considéré comme une option par défaut, mais un choix motivé », a-t-il estimé.
Auparavant, le représentant du secteur privé, notamment la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), N’Dri Koffi, a assuré de la disponibilité du patronat à oeuvrer de concert avec le ministère pour atteindre les résultats escomptés. « Nous voulons vous assurer de notre disponibilité à vous accompagner dans votre mission, vous encourager dans votre effort à transformer le secteur pour qu’il soit conforme aux besoins de l’entreprise », a rassuré le représentant de Jean Kacou Diagou.
Durant trois jours, les partenaires et acteurs du système de l’enseignement technique et de la formation professionnelle vont réfléchir pour apporter un « souffle nouveau », à cet ordre d’enseignement.
(AIP)
gak/cmas