ABIDJAN - Le ministre ivoirien des Ressources animales et Halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, a déclaré lundi à Abidjan que la Côte d’Ivoire est engagée dans une dynamique d’autosuffisance alimentaire.
La Côte d’Ivoire, en pleine croissance agricole durant les quatre dernières années, a mis en priorité l’amélioration des productions agricoles, a indiqué M. Adjoumani à l’occasion des travaux de la 29e Conférence régionale de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
"Avec une production annuelle de près de 1,8 MILLION de tonnes de cacao et plus de 500.000 tonnes d’anacarde, la Côte d’Ivoire vise la production mondiale de 50% de cacao", a-t-il noté.
Selon lui, le partenariat entre l’État et le secteur privé pour l’amélioration du secteur agricole s’avère nécessaire d’autant plus que les deux parties sont conscientes que l’agriculture est source de création de richesses et d’emplois.
Pour sa part, le représentant régional de la FAO pour l’Afrique, Bukar Tijani a rappelé la vision des chefs d’État à la Conférence de Malabo qui consiste à l’éradication de la faim d’ici 2025.
"L’avenir est prometteur pour le secteur agricole. Mais la préoccupation, c’est comment passer d’une agriculture de subsistance à une agriculture basée sur la transformation agro-industrielle créatrice d’emplois et de richesses", a insisté M. Tijani.
La Côte d’Ivoire, en pleine croissance agricole durant les quatre dernières années, a mis en priorité l’amélioration des productions agricoles, a indiqué M. Adjoumani à l’occasion des travaux de la 29e Conférence régionale de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).
"Avec une production annuelle de près de 1,8 MILLION de tonnes de cacao et plus de 500.000 tonnes d’anacarde, la Côte d’Ivoire vise la production mondiale de 50% de cacao", a-t-il noté.
Selon lui, le partenariat entre l’État et le secteur privé pour l’amélioration du secteur agricole s’avère nécessaire d’autant plus que les deux parties sont conscientes que l’agriculture est source de création de richesses et d’emplois.
Pour sa part, le représentant régional de la FAO pour l’Afrique, Bukar Tijani a rappelé la vision des chefs d’État à la Conférence de Malabo qui consiste à l’éradication de la faim d’ici 2025.
"L’avenir est prometteur pour le secteur agricole. Mais la préoccupation, c’est comment passer d’une agriculture de subsistance à une agriculture basée sur la transformation agro-industrielle créatrice d’emplois et de richesses", a insisté M. Tijani.