Les conducteurs de taxis de Yamoussokro observent, depuis lundi, un arrêt de travail pour protester contre des taxes de transport et de stationnement qu’ils jugent onéreuses.
« Nous avons à payer d’abord pour exercer notre activité une taxe d’autorisation qui est passée de 35 000 FCFA à 50 000 F CFA et payons les taxes de stationnement qui passent désormais de 3 500 F CFA à 5 000 F CFA », a expliqué Kouadio Kouakou propriétaire de taxi à Yamoussoukro.
Le secrétaire général de la mairie, Théodore Koffi, explique que le point d’achoppement est le refus des taxis de se mettre en règle vis-à-vis des textes arrêtés d’un commun accord.
Selon lui, le maire avait consenti des efforts et demandé en son temps la baisse du coût de l’autorisation de transport pendant une période compte tenu de la crise, afin de permettre aux chauffeurs de taxi de relancer leurs activités. « Le temps a expiré, il fallait qu’on revienne à la normale », s’est justifié le secrétaire général de la mairie de Yamoussoukro.
La grève se poursuit jusqu’à demain mercredi. En attendant les négociations sont en cours pour une reprise des activités dans la ville.
nam/ask
« Nous avons à payer d’abord pour exercer notre activité une taxe d’autorisation qui est passée de 35 000 FCFA à 50 000 F CFA et payons les taxes de stationnement qui passent désormais de 3 500 F CFA à 5 000 F CFA », a expliqué Kouadio Kouakou propriétaire de taxi à Yamoussoukro.
Le secrétaire général de la mairie, Théodore Koffi, explique que le point d’achoppement est le refus des taxis de se mettre en règle vis-à-vis des textes arrêtés d’un commun accord.
Selon lui, le maire avait consenti des efforts et demandé en son temps la baisse du coût de l’autorisation de transport pendant une période compte tenu de la crise, afin de permettre aux chauffeurs de taxi de relancer leurs activités. « Le temps a expiré, il fallait qu’on revienne à la normale », s’est justifié le secrétaire général de la mairie de Yamoussoukro.
La grève se poursuit jusqu’à demain mercredi. En attendant les négociations sont en cours pour une reprise des activités dans la ville.
nam/ask