L’insécurité grandissante dans la cité du fromager n’épargne personne. K.F, greffier en service au tribunal de première instance a surpris tôt le matin du vendredi dernier, un individu qui s’apprêtait à avoir accès à sa résidence pour s’emparer de ses biens. Mais, la vigilance du voisin de l’homme de droit va empêcher le visiteur indélicat d’aller au bout de ses fins. «Tôt ce matin, j’ai surpris cet individu dans la cour de la résidence que je partage avec le greffier. Doutant de sa bonne foi et de sa morale, je lui ai intimé l’ordre de s’arrêter pour me donner les motifs de sa présence chez nous. Très coincé par mon interrogatoire, il a fini par affirmer qu’il était à la recherche d’une maison à louer», nous a confié N.D, fonctionnaire au ministère de l’éducation nationale.
Le greffier continue dans la même lancée que son voisin en posant toujours des questions au concerné. A la question de savoir la profession qu’il exerce qui lui permettrait de résider dans une maison de haut standing, le suspect répond qu’il était à la fois élève dans un établissement de la ville de Gagnoa dont il ignore le nom, mais aussi coordonnier.
Son incohérence dans ses déclarations va obliger K.F à alerter des policiers en patrouille. Les hommes du préfet de police de la région du Goh, Kamagaté Zoumana débarquent chez le greffier au camp fonctionnaire. Le suspect se met à pleurer tout en soutenant qu’il n’a pas été pris la main dans le sac et qu’il ne se reproche rien. Cet argument ne convainc pas les policiers dont l’un d’entre eux lui passe les menottes avant de le conduire au commissariat du premier arrondissement de Gagnoa pour nécessité d’enquête.
La quiétude des habitants des habitants de la région du Goh est désormais troublée par des agressions répétées. La dernière du genre a été celle d’un agent de la Compagnie ivoirienne de bois(Cib) qui a été tué à coup de machettes mercredi dernier par des bandits à Barouhio alors qu’il se rendait au travail.
Doumbia Namory,
(correspondant à Gagnoa)
Le greffier continue dans la même lancée que son voisin en posant toujours des questions au concerné. A la question de savoir la profession qu’il exerce qui lui permettrait de résider dans une maison de haut standing, le suspect répond qu’il était à la fois élève dans un établissement de la ville de Gagnoa dont il ignore le nom, mais aussi coordonnier.
Son incohérence dans ses déclarations va obliger K.F à alerter des policiers en patrouille. Les hommes du préfet de police de la région du Goh, Kamagaté Zoumana débarquent chez le greffier au camp fonctionnaire. Le suspect se met à pleurer tout en soutenant qu’il n’a pas été pris la main dans le sac et qu’il ne se reproche rien. Cet argument ne convainc pas les policiers dont l’un d’entre eux lui passe les menottes avant de le conduire au commissariat du premier arrondissement de Gagnoa pour nécessité d’enquête.
La quiétude des habitants des habitants de la région du Goh est désormais troublée par des agressions répétées. La dernière du genre a été celle d’un agent de la Compagnie ivoirienne de bois(Cib) qui a été tué à coup de machettes mercredi dernier par des bandits à Barouhio alors qu’il se rendait au travail.
Doumbia Namory,
(correspondant à Gagnoa)