Améliorer le cadre de vie des populations en Côte d’Ivoire, c’est la problématique autour de laquelle se sont réunis jeudi la ministre de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement, Anne Ouloto et l’ensemble des districts, villes et communes, en présence du préfet d’Abidjan représentant le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité.
Cette rencontre avait pour but d’établir une plateforme de collaboration entre les entités techniques de l’Etat et les élus locaux en ce qui concerne la lutte pour un meilleur cadre de vie des populations.
La ministre Anne Ouloto s’est réjouie de la tenue de cette réunion qui selon elle, représente un premier élément de solution face à l’épineuse question de la salubrité urbaine. « Je me réjouis de la mise en œuvre du projet ‘’Propreté et embellissement des communes de Côte d’Ivoire’’. Les maires sont allés au delà pour dire que c’est l’ensemble de leurs villes et communes qui doivent être propres et belles en initiant un toilettage général par la suppression des vieux véhicules polluants, les marchés de nuit etc… », s’est félicitée Anne Ouloto. Invitant ses collègues des Transports et du Commerce à une concertation en vue de la mise en œuvre d’une politique de lutte contre le désordre urbain à l’effet de rendre la capitale économique propre, salubre et assainie.
Les maires quant à eux se sont réjouis d’avoir pris part à cette rencontre « très fructueuse » avec le ministère de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement. En l’espace d’un trimestre, le ministère a rencontré quatre fois de suite les maires pour traiter des questions de salubrité et d’assainissement. Pour N’Dohi Yapi Raymond, Maire de la Commune de Koumassi, c’est à travers une concertation avec les structures de l’Etat ayant en charge la question de la salubrité que les communes et villes de Côte d’Ivoire pourront redevenir propres. « Les populations en ont assez des opérations villes propres, des opérations qui n’ont pas de pérennité, voilà pourquoi je salue cette initiative. Nous ne pouvons pas aller à l’émergence avec des méthodes de travail archaïques, il nous faut plutôt une approche méthodologique mais surtout participative, et c’est ce que le ministère vient de nous démontrer » a ajouté le vice président de l’Union des Villes et Communes de Côte d’Ivoire (UVICOCI) et maire de la commune d’Attécoubé, Danho Paulin avant de prendre l’engagement au nom de l’UVICOCI de jouer pleinement leur partition quant à la sensibilisation des populations et la répression si besoin.
Marc-Innocent A.
Cette rencontre avait pour but d’établir une plateforme de collaboration entre les entités techniques de l’Etat et les élus locaux en ce qui concerne la lutte pour un meilleur cadre de vie des populations.
La ministre Anne Ouloto s’est réjouie de la tenue de cette réunion qui selon elle, représente un premier élément de solution face à l’épineuse question de la salubrité urbaine. « Je me réjouis de la mise en œuvre du projet ‘’Propreté et embellissement des communes de Côte d’Ivoire’’. Les maires sont allés au delà pour dire que c’est l’ensemble de leurs villes et communes qui doivent être propres et belles en initiant un toilettage général par la suppression des vieux véhicules polluants, les marchés de nuit etc… », s’est félicitée Anne Ouloto. Invitant ses collègues des Transports et du Commerce à une concertation en vue de la mise en œuvre d’une politique de lutte contre le désordre urbain à l’effet de rendre la capitale économique propre, salubre et assainie.
Les maires quant à eux se sont réjouis d’avoir pris part à cette rencontre « très fructueuse » avec le ministère de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement. En l’espace d’un trimestre, le ministère a rencontré quatre fois de suite les maires pour traiter des questions de salubrité et d’assainissement. Pour N’Dohi Yapi Raymond, Maire de la Commune de Koumassi, c’est à travers une concertation avec les structures de l’Etat ayant en charge la question de la salubrité que les communes et villes de Côte d’Ivoire pourront redevenir propres. « Les populations en ont assez des opérations villes propres, des opérations qui n’ont pas de pérennité, voilà pourquoi je salue cette initiative. Nous ne pouvons pas aller à l’émergence avec des méthodes de travail archaïques, il nous faut plutôt une approche méthodologique mais surtout participative, et c’est ce que le ministère vient de nous démontrer » a ajouté le vice président de l’Union des Villes et Communes de Côte d’Ivoire (UVICOCI) et maire de la commune d’Attécoubé, Danho Paulin avant de prendre l’engagement au nom de l’UVICOCI de jouer pleinement leur partition quant à la sensibilisation des populations et la répression si besoin.
Marc-Innocent A.
