Dabou – Les points focaux des cellules de consolidation des données régionales relatives aux conflits au sein du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité ont entamé jeudi à Dabou (sud), sous la présidence du préfet Kouakou Assoman, un atelier de renforcement des capacités pour mettre à disposition une base de données intégrale et dynamique au plan national.
‘’Les crises ne surviennent pas ex-nihilo. Il y a toujours des signes’’, a révélé le directeur des ressources humaines de l’Administration du territoire, Koffi Koffi Kan Innocent, qui a ajouté que réussir à les capter permet de se prémunir des tensions.
Cet atelier organisé en collaboration avec l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire permettra, au dire du représentant de l’organisme international, Jean Paul Vogel, à la Direction générale de l’administration du territoire (DGAT) d’exploiter plus facilement les rapports en provenance des régions.
La matrice de cartographie et de typologie des conflits, ‘’un mécanisme d’alerte précoce’’, contribuera, selon le préfet Kouakou Assoman, à maintenir la paix et la cohésion sociale ainsi que d’impulser le développement local.
Cette formation des points focaux venant des 31 régions de la Côte d’Ivoire constitue l’occasion pour eux d’améliorer leurs connaissances sur le processus de renseignement de la matrice de cartographie et de typologie des conflits, de leur donner le guide de remplissage et le support numérique de la matrice, de communiquer sur les contraintes liées à la collecte et à la consolidation des données et de transmettre périodiquement les données régionales sur les conflits à la DGAT.
(AIP)
kkp/akn/cmas
‘’Les crises ne surviennent pas ex-nihilo. Il y a toujours des signes’’, a révélé le directeur des ressources humaines de l’Administration du territoire, Koffi Koffi Kan Innocent, qui a ajouté que réussir à les capter permet de se prémunir des tensions.
Cet atelier organisé en collaboration avec l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire permettra, au dire du représentant de l’organisme international, Jean Paul Vogel, à la Direction générale de l’administration du territoire (DGAT) d’exploiter plus facilement les rapports en provenance des régions.
La matrice de cartographie et de typologie des conflits, ‘’un mécanisme d’alerte précoce’’, contribuera, selon le préfet Kouakou Assoman, à maintenir la paix et la cohésion sociale ainsi que d’impulser le développement local.
Cette formation des points focaux venant des 31 régions de la Côte d’Ivoire constitue l’occasion pour eux d’améliorer leurs connaissances sur le processus de renseignement de la matrice de cartographie et de typologie des conflits, de leur donner le guide de remplissage et le support numérique de la matrice, de communiquer sur les contraintes liées à la collecte et à la consolidation des données et de transmettre périodiquement les données régionales sur les conflits à la DGAT.
(AIP)
kkp/akn/cmas