Selon le secrétariat de cette institution, le renforcement des capacités est la porte d’entrée de la transformation structurelle de notre société.
Malgré les performances économiques et les progrès sociaux remarquables ces dernières années, des besoins en renforcement des capacités sont nécessaires aussi bien au niveau du secteur public, du secteur privé que de la société civile. C’est l'observation faite par le Secrétariat national de renforcement des capacités qui, à travers son premier responsable Méité Sindou, a organisé une prise de contact avec le Réseau des correspondants sectoriels, le jeudi 14 avril, à Abidjan-Plateau.
Selon le Secrétariat de cette institution, le renforcement des capacités est la porte d’entrée de la transformation structurelle de notre société. De ce fait, ce "réseau est donc un autre levier pour le suivi efficace des réformes que vous avez déjà engagées dans vos secteurs respectifs mais surtout un formidable outil pour aider à la nécessaire coordination des interventions du gouvernement" a expliqué Méité Sindou.
Dans leur mission, les correspondants sectoriels, selon l'institution, « devront d’assurer la cohérence dans l’élaboration et la mise en œuvre de la stratégie nationale de renforcement des capacités ». Dans la mesure où ce renforcement constitue aujourd’hui l’une des questions centrales auxquelles les pays africains font face dans leur processus de développement économique et social.
Saluant le Premier ministre pour le soutien au programme de travail du Secrétariat national au renforcement des capacités et son élaboration, le responsable du Snrc a indiqué: « C’est fort justement la préparation de ce projet d’élaboration d’une stratégie nationale de renforcement des capacités et plus généralement la mise en œuvre des dispositions pertinentes du décret du 3 septembre 2014 déterminant les attributions, l’organisation et le fonctionnement du Secrétariat qui donnent une justification à la mise en place de notre réseau de Correspondants sectoriels, issus bien largement du secteur public, du secteur privé et de la société civile ».
Méité Sindou a également dit "pouvoir compter sur la détermination des correspondants, leur engagement, leur esprit d’équipe. Sans oublier le partage des expériences, la mutualisation des forces et la concertation permanente pour que le Réseau des correspondants sectoriels soit le plus fonctionnel, le plus efficace et le plus durable possible".
Kamagaté Issouf
Issouf.kamagate@fratmat.info
Malgré les performances économiques et les progrès sociaux remarquables ces dernières années, des besoins en renforcement des capacités sont nécessaires aussi bien au niveau du secteur public, du secteur privé que de la société civile. C’est l'observation faite par le Secrétariat national de renforcement des capacités qui, à travers son premier responsable Méité Sindou, a organisé une prise de contact avec le Réseau des correspondants sectoriels, le jeudi 14 avril, à Abidjan-Plateau.
Selon le Secrétariat de cette institution, le renforcement des capacités est la porte d’entrée de la transformation structurelle de notre société. De ce fait, ce "réseau est donc un autre levier pour le suivi efficace des réformes que vous avez déjà engagées dans vos secteurs respectifs mais surtout un formidable outil pour aider à la nécessaire coordination des interventions du gouvernement" a expliqué Méité Sindou.
Dans leur mission, les correspondants sectoriels, selon l'institution, « devront d’assurer la cohérence dans l’élaboration et la mise en œuvre de la stratégie nationale de renforcement des capacités ». Dans la mesure où ce renforcement constitue aujourd’hui l’une des questions centrales auxquelles les pays africains font face dans leur processus de développement économique et social.
Saluant le Premier ministre pour le soutien au programme de travail du Secrétariat national au renforcement des capacités et son élaboration, le responsable du Snrc a indiqué: « C’est fort justement la préparation de ce projet d’élaboration d’une stratégie nationale de renforcement des capacités et plus généralement la mise en œuvre des dispositions pertinentes du décret du 3 septembre 2014 déterminant les attributions, l’organisation et le fonctionnement du Secrétariat qui donnent une justification à la mise en place de notre réseau de Correspondants sectoriels, issus bien largement du secteur public, du secteur privé et de la société civile ».
Méité Sindou a également dit "pouvoir compter sur la détermination des correspondants, leur engagement, leur esprit d’équipe. Sans oublier le partage des expériences, la mutualisation des forces et la concertation permanente pour que le Réseau des correspondants sectoriels soit le plus fonctionnel, le plus efficace et le plus durable possible".
Kamagaté Issouf
Issouf.kamagate@fratmat.info