Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le référendum et l’élection des députés à l’Assemblée nationale sont des scrutins non seulement importants, mais complexes, a estimé, mardi, à Abidjan le Président de la Commission électorale indépendante (CEI) Youssouf Bakayoko à l’ouverture d’un atelier de formation des Commissaires Centraux de cette institution sur le découpage électorale, le référendum, la compilation et la transmission des résultats.
« Au moment où elle s'apprête à lancer ses activités décisives relatives à la révision de la liste électorale, au référendum annoncé et au scrutin législatif, la Commission Electorale Indépendante, a décidé de réunir ses animateurs, en vue de se doter des outils pour affronter les échéances à venir », a expliqué M. Bakayoko, soutenant que « le référendum et l'élection des députés à l'Assemblée Nationale sont des scrutins non seulement importants, mais complexes ».
Selon lui, «il s'agira pour nous de renforcer nos capacités dans diverses matières dont certaines sont liées au scrutin présidentiel passé». A ce propos, le président de la CEI a parlé de l'utilisation de la tablette biométrique qui est selon lui, un outil avant-gardiste visant non seulement à sécuriser le scrutin, mais aussi à en renforcer la transparence et la crédibilité, en permettant une proclamation rapide des résultats, et une évaluation progressive du taux de participation en temps réel.
Outre ce volet, a ajouté Youssouf Bakayoko, « il s'agira pour nous, d'examiner d'autres aspects de notre travail comme le principe du découpage électoral, prélude à la tenue du scrutin législatif, et aussi, l'organisation du référendum constitutionnel ».
« Avec la consolidation du renouveau démocratique dans notre pays, suite à l'élection présidentielle d'octobre, nos compatriotes souhaitent voir la Commission électorale indépendante accroître ses performances », a ajouté M. Bakayoko.
Pour lui, le défi de l'organisation des élections transparentes dans des conditions apaisées étant gagné, « c'est la qualité de l'organisation des scrutins avec les outils de l'ère du temps, et la célérité dans l'exécution de nos tâches que nous devons désormais atteindre ».
En effet, a-t-il fait remarquer, « contrairement à l'élection du Président de la République, l'élection des députés concerne plusieurs collèges électoraux, et le nombre de candidats est autrement plus important. Les foyers de tension sont en conséquence plus nombreux ». Cet atelier qui se tient au siège de la CEI s'achève, mercredi.
LS/APA
« Au moment où elle s'apprête à lancer ses activités décisives relatives à la révision de la liste électorale, au référendum annoncé et au scrutin législatif, la Commission Electorale Indépendante, a décidé de réunir ses animateurs, en vue de se doter des outils pour affronter les échéances à venir », a expliqué M. Bakayoko, soutenant que « le référendum et l'élection des députés à l'Assemblée Nationale sont des scrutins non seulement importants, mais complexes ».
Selon lui, «il s'agira pour nous de renforcer nos capacités dans diverses matières dont certaines sont liées au scrutin présidentiel passé». A ce propos, le président de la CEI a parlé de l'utilisation de la tablette biométrique qui est selon lui, un outil avant-gardiste visant non seulement à sécuriser le scrutin, mais aussi à en renforcer la transparence et la crédibilité, en permettant une proclamation rapide des résultats, et une évaluation progressive du taux de participation en temps réel.
Outre ce volet, a ajouté Youssouf Bakayoko, « il s'agira pour nous, d'examiner d'autres aspects de notre travail comme le principe du découpage électoral, prélude à la tenue du scrutin législatif, et aussi, l'organisation du référendum constitutionnel ».
« Avec la consolidation du renouveau démocratique dans notre pays, suite à l'élection présidentielle d'octobre, nos compatriotes souhaitent voir la Commission électorale indépendante accroître ses performances », a ajouté M. Bakayoko.
Pour lui, le défi de l'organisation des élections transparentes dans des conditions apaisées étant gagné, « c'est la qualité de l'organisation des scrutins avec les outils de l'ère du temps, et la célérité dans l'exécution de nos tâches que nous devons désormais atteindre ».
En effet, a-t-il fait remarquer, « contrairement à l'élection du Président de la République, l'élection des députés concerne plusieurs collèges électoraux, et le nombre de candidats est autrement plus important. Les foyers de tension sont en conséquence plus nombreux ». Cet atelier qui se tient au siège de la CEI s'achève, mercredi.
LS/APA