Abidjan (Côte d'Ivoire) - Les enseignants et chercheurs des universités publiques ivoiriennes depuis lundi, une grève pour protester contre le non-respect des engagements de l’Etat à leur égard, a appris sur place, mardi, l’Agence de Presse Africaine (APA).
« C'est une grève de protestation qui devrait prendre fin demain soir (mercredi) », a expliqué à APA, le Pr Johnson Kouassi de la Coordination nationale des enseignants-chercheurs (CNEC), le mouvement syndical à l'origine de ce débrayage.
Poursuivant, le Pr Kouassi a précisé qu'ils (les enseignants) entendaient dénoncer « le non-respect des engagements de l'Etat vis-à-vis de la nouvelle prime de recherche valorisée et par trimestre ».« On ne voyait rien, on n'avait pas d'éclairci et c'est pour cela que nous sommes rentrés en grève», a ajouté le porte-parole des enseignants qui rappelle que cette mesure devrait rentrer en vigueur depuis le 31 mars dernier pour la fin du premier trimestre.
Toutefois, le Pr Johnson Kouassi révèle que des négociations sont en cours pour trouver une issue à ces problèmes qui minent les universités ivoiriennes.
« Madame le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, (Pr Ly Ramata Bakayoko) nous a dit que l'Etat a tout payé y compris le salaire du mois d'avril. Demain (mercredi), nous allons nous réunir pour analyser la situation et reprendre éventuellement le jeudi », a conclu le responsable syndicale.
Les universités de Côte d'Ivoire ont été avant ce mouvement des enseignants, le théâtre d'heurts entre des forces de l'ordre et des étudiants. Les étudiants revendiquaient de meilleures conditions de vie et de travail.
Le Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI), Fulgence Assi a séjourné à la faveur de ces mouvements de revendications à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (MACA) avant d'être relaxé quelques jours plus tard.
SY/ls
« C'est une grève de protestation qui devrait prendre fin demain soir (mercredi) », a expliqué à APA, le Pr Johnson Kouassi de la Coordination nationale des enseignants-chercheurs (CNEC), le mouvement syndical à l'origine de ce débrayage.
Poursuivant, le Pr Kouassi a précisé qu'ils (les enseignants) entendaient dénoncer « le non-respect des engagements de l'Etat vis-à-vis de la nouvelle prime de recherche valorisée et par trimestre ».« On ne voyait rien, on n'avait pas d'éclairci et c'est pour cela que nous sommes rentrés en grève», a ajouté le porte-parole des enseignants qui rappelle que cette mesure devrait rentrer en vigueur depuis le 31 mars dernier pour la fin du premier trimestre.
Toutefois, le Pr Johnson Kouassi révèle que des négociations sont en cours pour trouver une issue à ces problèmes qui minent les universités ivoiriennes.
« Madame le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, (Pr Ly Ramata Bakayoko) nous a dit que l'Etat a tout payé y compris le salaire du mois d'avril. Demain (mercredi), nous allons nous réunir pour analyser la situation et reprendre éventuellement le jeudi », a conclu le responsable syndicale.
Les universités de Côte d'Ivoire ont été avant ce mouvement des enseignants, le théâtre d'heurts entre des forces de l'ordre et des étudiants. Les étudiants revendiquaient de meilleures conditions de vie et de travail.
Le Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI), Fulgence Assi a séjourné à la faveur de ces mouvements de revendications à la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (MACA) avant d'être relaxé quelques jours plus tard.
SY/ls