Du vendredi 22 au dimanche 24 avril 2016, Dr. GUIBESSONGUI N’Datien Séverin a effectué une tournée à Niakara. Au terme de cette tournée de trois jours, il a accordé une interview aux correspondants locaux de la presse nationale à Niakara.
Quel est l’objectif de cette tournée ?
GUIBESSONGUI : Je suis venu à Niakara pour communier avec toutes les populations et pour connaître leurs aspirations profondes et secrètes. J’ai sillonné tous les villages partant de Arikokaha sous-préfecture à Niakara sud, en passant par Kanawolo et Niakara commune. J’ai parlé avec les jeunes, les femmes, les personnes âgées et même les enfants des écoles primaires. Mon objectif, c’est de prêcher pour le rassemblement, l’union et l’harmonie de tous afin d’orienter les mentalités vers une dynamique d’émergence inclusive.
Vous étiez dans le département le 08 Mars dernier dans le cadre de la journée internationale de la femme, journée au cours de laquelle vous avez offert de nombreux dons aux femmes du département. Un mois après, vous êtes revenu sur le terrain pour sillonner à nouveau la localité. Pourquoi ?
GUIBESSONGUI : Je suis revenu inciter les populations à taire leurs querelles et dissensions qui entravent la marche vers l’émergence. Je suis venu leur demander de se rassembler, de s’unir et de regarder l’objectif commun qui est le développement du département de Niakara. Sans entente, le développement n’est pas possible. J’ai prêché et plaidé pour l’avènement d’un citoyen nouveau. J’ai expliqué la doctrine OUATTARA de l’ivoirien nouveau. Tout au long de la tournée, j’ai vu des hommes et des femmes adhérer à ma vision nouvelle. Je crois que les populations m’ont compris et j’en suis satisfait. Nous les cadres, avons le devoir de donner l’exemple de cette union afin que les populations nous suivent dans nos efforts de développement.
Justement, vous avez très souvent lancé des appels à l’unité des cadres du département, pensez-vous avoir été entendu ?
GUIBESSONGUI : c’est l’un de mes combats personnels. Je prêche pour l’unité, l’union et le rassemblement. Pour le moment, j’essaie d’aller sur deux axes. Le premier consiste à rencontrer les populations pour les amener à se rassembler, car l’union fait la force. Le second consiste à plaider auprès des cadres pour qu’ils s’unissent afin d’aider les populations. L’Etat ne fait pas tout et ne peut pas tout faire. Unis, les cadres sont un potentiel que nous pouvons transformer en véritable force de développement. J’espère être entendu.
Cette tournée est-elle le prélude à une éventuelle candidature aux prochaines législatives ?
GUIBESSONGUI : Je suis un fils de Niakara et le développement de cette localité qui comprend les sous-préfectures de Arikokaha, de Tortiya et de Niakara me préoccupe. Après avoir écouté les populations, je leur ai dit ceci: "Je vous ai compris et je suis prêt à vous servir". Sans doute que mon profil et ma disponibilité rassurent les populations.
Dr. GUIBESSONGUI, vous êtes le parrain du Club Emergence 2020, ce mouvement créé en 2015. Quels sont les objectifs réels de ce club ?
GUIBESSONGUI : le Club Emergence 2020 a, en effet, vu le jour à la veille de la dernière campagne présidentielle, sous mon impulsion et avec mon onction. Il faut que l’émergence ne soit pas l’affaire du Président de la République seul. Je veux que les populations s’approprient le concept d’émergence et aient un comportement qui les prédispose à l’’émergence. Le club mène donc ses actions en ce sens, en s’inscrivant dans le sillage de la politique de développement du Président OUATTARA. Le Club Emergence 2020 est implanté presque partout dans le département de Niakara. C’est un mouvement orienté vers la politique de développement. L’objectif du Club, dont je suis le parrain, est que notre département sorte de sa léthargie pour être émergent en 2020.
Merci bien Docteur de nous avoir accordé cette interview.
GUIBESSONGUI : c’est moi qui vous remercie.
Interview réalisée par
Nawota KONE
Correspondant régional de Soir Info.
Quel est l’objectif de cette tournée ?
GUIBESSONGUI : Je suis venu à Niakara pour communier avec toutes les populations et pour connaître leurs aspirations profondes et secrètes. J’ai sillonné tous les villages partant de Arikokaha sous-préfecture à Niakara sud, en passant par Kanawolo et Niakara commune. J’ai parlé avec les jeunes, les femmes, les personnes âgées et même les enfants des écoles primaires. Mon objectif, c’est de prêcher pour le rassemblement, l’union et l’harmonie de tous afin d’orienter les mentalités vers une dynamique d’émergence inclusive.
Vous étiez dans le département le 08 Mars dernier dans le cadre de la journée internationale de la femme, journée au cours de laquelle vous avez offert de nombreux dons aux femmes du département. Un mois après, vous êtes revenu sur le terrain pour sillonner à nouveau la localité. Pourquoi ?
GUIBESSONGUI : Je suis revenu inciter les populations à taire leurs querelles et dissensions qui entravent la marche vers l’émergence. Je suis venu leur demander de se rassembler, de s’unir et de regarder l’objectif commun qui est le développement du département de Niakara. Sans entente, le développement n’est pas possible. J’ai prêché et plaidé pour l’avènement d’un citoyen nouveau. J’ai expliqué la doctrine OUATTARA de l’ivoirien nouveau. Tout au long de la tournée, j’ai vu des hommes et des femmes adhérer à ma vision nouvelle. Je crois que les populations m’ont compris et j’en suis satisfait. Nous les cadres, avons le devoir de donner l’exemple de cette union afin que les populations nous suivent dans nos efforts de développement.
Justement, vous avez très souvent lancé des appels à l’unité des cadres du département, pensez-vous avoir été entendu ?
GUIBESSONGUI : c’est l’un de mes combats personnels. Je prêche pour l’unité, l’union et le rassemblement. Pour le moment, j’essaie d’aller sur deux axes. Le premier consiste à rencontrer les populations pour les amener à se rassembler, car l’union fait la force. Le second consiste à plaider auprès des cadres pour qu’ils s’unissent afin d’aider les populations. L’Etat ne fait pas tout et ne peut pas tout faire. Unis, les cadres sont un potentiel que nous pouvons transformer en véritable force de développement. J’espère être entendu.
Cette tournée est-elle le prélude à une éventuelle candidature aux prochaines législatives ?
GUIBESSONGUI : Je suis un fils de Niakara et le développement de cette localité qui comprend les sous-préfectures de Arikokaha, de Tortiya et de Niakara me préoccupe. Après avoir écouté les populations, je leur ai dit ceci: "Je vous ai compris et je suis prêt à vous servir". Sans doute que mon profil et ma disponibilité rassurent les populations.
Dr. GUIBESSONGUI, vous êtes le parrain du Club Emergence 2020, ce mouvement créé en 2015. Quels sont les objectifs réels de ce club ?
GUIBESSONGUI : le Club Emergence 2020 a, en effet, vu le jour à la veille de la dernière campagne présidentielle, sous mon impulsion et avec mon onction. Il faut que l’émergence ne soit pas l’affaire du Président de la République seul. Je veux que les populations s’approprient le concept d’émergence et aient un comportement qui les prédispose à l’’émergence. Le club mène donc ses actions en ce sens, en s’inscrivant dans le sillage de la politique de développement du Président OUATTARA. Le Club Emergence 2020 est implanté presque partout dans le département de Niakara. C’est un mouvement orienté vers la politique de développement. L’objectif du Club, dont je suis le parrain, est que notre département sorte de sa léthargie pour être émergent en 2020.
Merci bien Docteur de nous avoir accordé cette interview.
GUIBESSONGUI : c’est moi qui vous remercie.
Interview réalisée par
Nawota KONE
Correspondant régional de Soir Info.