Mme le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Prof. Bakayoko-Ly Ramata a présidé l’atelier sur les nouvelles procédures d’organisation des examens du Brevet de Technicien Supérieur(BTS) en côte d’ivoire. C’était le lundi 25 avril 2016 à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody.
Ouvrant les travaux de l’atelier, la ministre a déclaré « Il s’agit d’améliorer la fiabilité et la crédibilité du BTS, afin de redonner confiance aux parents d’étudiants, aux étudiants, aux partenaires, voire à la nation toute entière et à la communauté internationale ». Et d’ajouter « Notre enseignement supérieur doit se reformer pour relever les défis de la compétitivité des diplômés et de l’adéquation Formation/Emploi, en vue de donner à nos étudiants une formation de qualité, capable de leur donner un accès facile au marché de l’emploi. »
Le point saillant à l’agenda de cet atelier a été la présentation des huit points de la réforme. A savoir : la création d’une commission annuelle de réforme et d'organisation du BTS qui aura pour mission de faire une évaluation externe des procédures d'organisation des examens du BTS ; l’inscription en ligne au moyen d’un nouveau système d’information en liaison avec plusieurs base de données pour recouper les informations avant de les valider ; l’enrôlement et le contrôle biométrique des candidats ; la modernisation des choix, du tirage et du conditionnement des sujets ; le retrait des convocations en ligne avec un code délivré par les établissements d’origine des candidats officiels ; l’anonymat électronique; la mise en place et la décentralisation des jurys de correction ; la mise en place des jurys de délibération.
Après les échanges avec les étudiants, les enseignants et les fondateurs d’établissements d’enseignement supérieurs, l’on peut avancer que les réformes proposées par madame le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Prof. Bakayoko-Ly Ramata, ont été accueillies favorablement.
Ouvrant les travaux de l’atelier, la ministre a déclaré « Il s’agit d’améliorer la fiabilité et la crédibilité du BTS, afin de redonner confiance aux parents d’étudiants, aux étudiants, aux partenaires, voire à la nation toute entière et à la communauté internationale ». Et d’ajouter « Notre enseignement supérieur doit se reformer pour relever les défis de la compétitivité des diplômés et de l’adéquation Formation/Emploi, en vue de donner à nos étudiants une formation de qualité, capable de leur donner un accès facile au marché de l’emploi. »
Le point saillant à l’agenda de cet atelier a été la présentation des huit points de la réforme. A savoir : la création d’une commission annuelle de réforme et d'organisation du BTS qui aura pour mission de faire une évaluation externe des procédures d'organisation des examens du BTS ; l’inscription en ligne au moyen d’un nouveau système d’information en liaison avec plusieurs base de données pour recouper les informations avant de les valider ; l’enrôlement et le contrôle biométrique des candidats ; la modernisation des choix, du tirage et du conditionnement des sujets ; le retrait des convocations en ligne avec un code délivré par les établissements d’origine des candidats officiels ; l’anonymat électronique; la mise en place et la décentralisation des jurys de correction ; la mise en place des jurys de délibération.
Après les échanges avec les étudiants, les enseignants et les fondateurs d’établissements d’enseignement supérieurs, l’on peut avancer que les réformes proposées par madame le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Prof. Bakayoko-Ly Ramata, ont été accueillies favorablement.