Le dessinateur de presse Jean Thomas Gbalin dit T. Gbalin du quotidien Le Patriote (proche du pouvoir) observe une grève de la faim, devant la Cathédrale St-Paul du Plateau, au cœur d’Abidjan, pour dénoncer la ‘’suspension de mon salaire sans motif valable’’, a constaté, mercredi, APA dans la capitale économique ivoirienne.
Par cette action, le caricaturiste maison de Le Patriote entend dénoncer, d'une part, ‘'les souffrances des travailleurs du journal'' et d'autre part, ‘'l'injustice'' dont il dit être ‘' victime'' de la part de son employeur.
M. Gbalin qui totalise ‘'16 ans 7 mois 11 jours de service'' raconte avoir été ‘'suspendu d'écriture'' par le gérant du journal, Charles Sanga, ‘'sans motif valable'' depuis le 12 février 2016 assorti de ‘'suspension de salaire''.
Pour les faits, le dessinateur informe, sur sa page Facebook que c'est suite à un post via les réseaux sociaux dénonçant ‘'le retard de paiement des salaires du mois de janvier 2016 jusqu'à la date du 11 février'' que M. Sanga ‘'m'a suspendu de signature et compte aller jusqu'au bout de la procédure''.
Malgré la réponse à la demande d'explication que lui a infligée le gérant et la médiation des travailleurs, T. Gbalin explique que le gérant a notifié, le vendredi 8 avril 2016, ‘'mon renvoi qui prend effet à compter du 18 février'', aux autres responsables de l'entreprise.
‘'Non seulement mon licenciement ne m'a pas été notifié par écrit, mais aussi, M. Sanga refuse de payer mon salaire du mois de mars. Et depuis presque trois mois maintenant, je suis à la maison, sans lettre de licenciement'', déplore-t-il pour justifier sa décision d'observer une grêve de la faim.
Sur les réseaux sociaux, journalistes et simples anonymes demandent la ‘'clémence'' du gérant de Le Patriote, Charles Sanga, pour la ‘'réintégration'' et le ‘'rétablissement du salaire'' du caricaturiste à qui d'autres internautes reprochent, cependant, d'avoir utilisé les réseaux sociaux pour ‘'une affaire professionnelle'' qui pouvait être réglée par ‘'le dialogue ou la justice''.
HS/ls/APA
Par cette action, le caricaturiste maison de Le Patriote entend dénoncer, d'une part, ‘'les souffrances des travailleurs du journal'' et d'autre part, ‘'l'injustice'' dont il dit être ‘' victime'' de la part de son employeur.
M. Gbalin qui totalise ‘'16 ans 7 mois 11 jours de service'' raconte avoir été ‘'suspendu d'écriture'' par le gérant du journal, Charles Sanga, ‘'sans motif valable'' depuis le 12 février 2016 assorti de ‘'suspension de salaire''.
Pour les faits, le dessinateur informe, sur sa page Facebook que c'est suite à un post via les réseaux sociaux dénonçant ‘'le retard de paiement des salaires du mois de janvier 2016 jusqu'à la date du 11 février'' que M. Sanga ‘'m'a suspendu de signature et compte aller jusqu'au bout de la procédure''.
Malgré la réponse à la demande d'explication que lui a infligée le gérant et la médiation des travailleurs, T. Gbalin explique que le gérant a notifié, le vendredi 8 avril 2016, ‘'mon renvoi qui prend effet à compter du 18 février'', aux autres responsables de l'entreprise.
‘'Non seulement mon licenciement ne m'a pas été notifié par écrit, mais aussi, M. Sanga refuse de payer mon salaire du mois de mars. Et depuis presque trois mois maintenant, je suis à la maison, sans lettre de licenciement'', déplore-t-il pour justifier sa décision d'observer une grêve de la faim.
Sur les réseaux sociaux, journalistes et simples anonymes demandent la ‘'clémence'' du gérant de Le Patriote, Charles Sanga, pour la ‘'réintégration'' et le ‘'rétablissement du salaire'' du caricaturiste à qui d'autres internautes reprochent, cependant, d'avoir utilisé les réseaux sociaux pour ‘'une affaire professionnelle'' qui pouvait être réglée par ‘'le dialogue ou la justice''.
HS/ls/APA