Tengrela, Les récoltes d’une trentaine de producteurs d’anacarde de Bolona (village situé à 24 km de Tengrela), qui s’étend sur une superficie de 190 hectares, ont été dévastées par une forte pluie de grêles au début du mois d’avril, a appris l’AIP.
En visite dans les champs concernés, le secrétaire général de la coopérative Koto Wobin, Bamba Mamadou et quelque uns des paysans sinistrés, ont constaté que la pluie de grêles a laissé des vergers à l’image des ravages d’un feu de brousse.
« J’ai saisi l’ANADER, la direction départementale de l’agriculture, le conseil coton anacarde et les autorités administratives du département. Car c’est une catastrophe naturelle inédite chez nous et nous ne savons que faire. Nous implorons le ministère de la solidarité afin de nous venir en aide » , a supplié M. Bamba, au nom des producteurs.
Selon Le chef de zone de l’ANADER de Tengrela, Touré Léaon, le phénomène est rare mais naturel car Les pluies de grêles arrivent en fin de saison sèche, ce qui est un danger pour toutes les plantations. Des solutions technologiques telles que les bâches de protection, les diffuseurs de chaleur ou des fusées pour dissiper la formation des nuages de grêles existent mais elles sont très chères pour les paysans. il a cependant déploré le temps mis par les producteurs pour informer les autorités compétentes.
(AIP)
tmpo/acc/kam
En visite dans les champs concernés, le secrétaire général de la coopérative Koto Wobin, Bamba Mamadou et quelque uns des paysans sinistrés, ont constaté que la pluie de grêles a laissé des vergers à l’image des ravages d’un feu de brousse.
« J’ai saisi l’ANADER, la direction départementale de l’agriculture, le conseil coton anacarde et les autorités administratives du département. Car c’est une catastrophe naturelle inédite chez nous et nous ne savons que faire. Nous implorons le ministère de la solidarité afin de nous venir en aide » , a supplié M. Bamba, au nom des producteurs.
Selon Le chef de zone de l’ANADER de Tengrela, Touré Léaon, le phénomène est rare mais naturel car Les pluies de grêles arrivent en fin de saison sèche, ce qui est un danger pour toutes les plantations. Des solutions technologiques telles que les bâches de protection, les diffuseurs de chaleur ou des fusées pour dissiper la formation des nuages de grêles existent mais elles sont très chères pour les paysans. il a cependant déploré le temps mis par les producteurs pour informer les autorités compétentes.
(AIP)
tmpo/acc/kam
