Le Syndicat autonome des producteurs agricoles du vivriers, industriels et maraîchers de Côte d’Ivoire (Sapavime-ci) veut financer les coopératives et les associations qui exercent dans le domaine agricole, de l’élevage et de la pêche.
A cet effet, il organise une assemblée générale extraordinaire, le samedi 07 mai prochain à Yopougon. « C’est bien que le gouvernement prolonge l’autoroute du nord. Qu’il construise des ponts. Mais il doit songer à l’évacuation de nos produits. A cet effet, il est impératif que nos routes soient reprofilées afin que nous puissions vendre nos produits. Si l’économie ivoirienne repose sur l’agriculture, les conditions de vie des acteurs de la filière agricole et les éleveurs, doivent être améliorées. Le projet de financement des coopératives, nous tient à cœur pour le développement du monde rural. Il consiste à la mécanisation de l’agriculture, à octroyer des prêts aux producteurs agricoles. Le syndicat veut également lancer une opération immobilière. Car, aucune structure ne s’intéresse au logement du monde paysan. Au cours de la prochaine assemblée générale, nous proposerons des conditions de recherche de financement du projet ‘’un paysan, un toit », a indiqué Seuh Wongui Michel, secrétaire général dudit syndicat au cours d’un point de presse qu’il a organisé le mercredi 27 avril 2016 à Yopougon. Il souhaite que le gouvernement jette un regard sur les conditions de vie et de travail des producteurs agricoles. « Un travailleur a besoin d’être récompensé par la reconnaissance de ses mérites. Au temps de feu Félix Houphouet Boigny, le premier président de notre pays, les grands planteurs étaient récompensés à travers la coupe nationale du progrès. Cette politique galvanisait les producteurs agricoles. Mieux, économiquement notre pays se portait bien. Malheureusement, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Vivement que cette coupe nationale du progrès soit réinstaurée pour le bonheur des planteurs », Au cours de ce conclave, d’importantes décisions seront prises. Entre autres : le réaménagement du syndicat. Il s’agit ici de procéder à la sensibilisation des producteurs afin qu’ils participent activement aux activités de leur syndicat. « Le syndicat fait cavalier seul. Cela est préjudiciable au syndicat lui-même et à la population rurale. Parce que depuis la création du Sapamevi-ci en 2004, la sensibilisation et la mobilisation étaient très difficiles à cause de la crise ivoirienne », a noté Seuh Michel.
HENRI MEDI
A cet effet, il organise une assemblée générale extraordinaire, le samedi 07 mai prochain à Yopougon. « C’est bien que le gouvernement prolonge l’autoroute du nord. Qu’il construise des ponts. Mais il doit songer à l’évacuation de nos produits. A cet effet, il est impératif que nos routes soient reprofilées afin que nous puissions vendre nos produits. Si l’économie ivoirienne repose sur l’agriculture, les conditions de vie des acteurs de la filière agricole et les éleveurs, doivent être améliorées. Le projet de financement des coopératives, nous tient à cœur pour le développement du monde rural. Il consiste à la mécanisation de l’agriculture, à octroyer des prêts aux producteurs agricoles. Le syndicat veut également lancer une opération immobilière. Car, aucune structure ne s’intéresse au logement du monde paysan. Au cours de la prochaine assemblée générale, nous proposerons des conditions de recherche de financement du projet ‘’un paysan, un toit », a indiqué Seuh Wongui Michel, secrétaire général dudit syndicat au cours d’un point de presse qu’il a organisé le mercredi 27 avril 2016 à Yopougon. Il souhaite que le gouvernement jette un regard sur les conditions de vie et de travail des producteurs agricoles. « Un travailleur a besoin d’être récompensé par la reconnaissance de ses mérites. Au temps de feu Félix Houphouet Boigny, le premier président de notre pays, les grands planteurs étaient récompensés à travers la coupe nationale du progrès. Cette politique galvanisait les producteurs agricoles. Mieux, économiquement notre pays se portait bien. Malheureusement, ce n’est pas le cas aujourd’hui. Vivement que cette coupe nationale du progrès soit réinstaurée pour le bonheur des planteurs », Au cours de ce conclave, d’importantes décisions seront prises. Entre autres : le réaménagement du syndicat. Il s’agit ici de procéder à la sensibilisation des producteurs afin qu’ils participent activement aux activités de leur syndicat. « Le syndicat fait cavalier seul. Cela est préjudiciable au syndicat lui-même et à la population rurale. Parce que depuis la création du Sapamevi-ci en 2004, la sensibilisation et la mobilisation étaient très difficiles à cause de la crise ivoirienne », a noté Seuh Michel.
HENRI MEDI