Abidjan, Le ministère de la promotion de la femme, de la famille et de la protection de l’enfant (MPFFPE) a besoin de quelque 360 milliards FCFA, pour la réalisation de son plan de travail annuel (PTA), a fait savoir jeudi à Abidjan, son premier responsable, Euphrasie Yao, à l’ouverture d’une rencontre avec les partenaires au développement.
« Nous avons besoin de 360 milliards, nous avons annoncé cela et nous l’avons décliné en plusieurs programmes », a indiqué Yao Euphrasie, soulignant que le plan national de développement (PND) 2016-2020 a déjà pris en compte deux programmes, notamment celui de l’autonomisation de la femme qui fait 317 milliards et le compendium des compétences féminines qui lui fait quatre milliards F CFA.
D’après la déclinaison du PTA du MPFFPE, quatre axes, notamment la promotion du Genre en tant qu’instrument de développement, l’autonomisation des Femmes et la valorisation des Compétences féminines, l’épanouissement des citoyens dans le cadre de la famille et la protection et promotion les droits de l’enfant, devraient susciter l’attention des partenaires au développement.
L’émissaire du gouvernement a souhaité que les partenaires se prononcent sur les aspects techniques à améliorer pour une réussite de ce programme. « Nous espérons qu’ils vont se prononcer sur les financements qu’ils peuvent annoncer dès aujourd’hui pour qu’ensemble nous puissions coordonner toutes ces questions et réussir la mission que le gouvernement nous a confié », a-t-elle indiqué.
Le représentant du coordonnateur du système des Nations-Unies en Côte d’Ivoire, Gianluca Ferrera a plaidé pour la mise en place d’une plate forme pour un accompagnement soutenu du MPFFPE. « Le plus important sera la mise en place d’un cadre de coordination pour accompagner le ministère, surtout pour la collecte de données statistiques », a-t-il préconisé.
La représentante résidente de l’ONU-Femme, Marie Goretti Nduwayo, a pour sa part mis avant la détermination de la structure onusienne, de s’assurer que les partenaires au développement qui travaillent avec le ministère, apportent un appui qui peut être mieux coordonné sur le terrain.
(AIP)
gak/kam
« Nous avons besoin de 360 milliards, nous avons annoncé cela et nous l’avons décliné en plusieurs programmes », a indiqué Yao Euphrasie, soulignant que le plan national de développement (PND) 2016-2020 a déjà pris en compte deux programmes, notamment celui de l’autonomisation de la femme qui fait 317 milliards et le compendium des compétences féminines qui lui fait quatre milliards F CFA.
D’après la déclinaison du PTA du MPFFPE, quatre axes, notamment la promotion du Genre en tant qu’instrument de développement, l’autonomisation des Femmes et la valorisation des Compétences féminines, l’épanouissement des citoyens dans le cadre de la famille et la protection et promotion les droits de l’enfant, devraient susciter l’attention des partenaires au développement.
L’émissaire du gouvernement a souhaité que les partenaires se prononcent sur les aspects techniques à améliorer pour une réussite de ce programme. « Nous espérons qu’ils vont se prononcer sur les financements qu’ils peuvent annoncer dès aujourd’hui pour qu’ensemble nous puissions coordonner toutes ces questions et réussir la mission que le gouvernement nous a confié », a-t-elle indiqué.
Le représentant du coordonnateur du système des Nations-Unies en Côte d’Ivoire, Gianluca Ferrera a plaidé pour la mise en place d’une plate forme pour un accompagnement soutenu du MPFFPE. « Le plus important sera la mise en place d’un cadre de coordination pour accompagner le ministère, surtout pour la collecte de données statistiques », a-t-il préconisé.
La représentante résidente de l’ONU-Femme, Marie Goretti Nduwayo, a pour sa part mis avant la détermination de la structure onusienne, de s’assurer que les partenaires au développement qui travaillent avec le ministère, apportent un appui qui peut être mieux coordonné sur le terrain.
(AIP)
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