Bouna - Des sanctions seront prises à l’encontre des personnes révélées par l’enquête en cours comme étant ceux qui ont été à la base des affrontements intercommunautaires entre éleveurs Peulh et cultivateurs Lobi, a promis samedi, à Bouna, le président de la République, Alassane Ouattara, lors de sa visite de compassion et de solidarité aux populations de la région.
« Il n’y aura pas d’impunité pour ceux qui ont choisi d’ôter la vie délibérément à autrui. Nous savons que des mains occultes ont dû manipuler les acteurs. Une enquête a été diligentée et nous punirons les coupables. Je serai ferme et sans état d’âme », a martelé M. Ouattara.
Pour le chef de l’Etat, « nul n’a le droit de se faire justice » car la Côte d’Ivoire dispose de cadres institutionnels pour régler les conflits de tout genre à savoir la Justice, la Médiature et la Chambre des Rois et chefs traditionnels qui vient récemment d’être mise en place.
Il faut désormais consolider les acquis de la paix, a conseillé le Président Ouattara, qui a lancé une mise en garde aux politiques et leaders d’opinion en menaçant qu’il n’acceptera pas la division de ses concitoyens et qu’il réagira « de la manière la plus vigoureuse » parce que la violence ne doit plus être érigée en « moyens de règlement des conflits ».
Le conflit parti d’une rixe entre des éleveurs Peulh et des cultivateurs Lobi à Panzarani (un village de Bouna) qui s’est mué en des violences intercommunautaires, a fait 32 morts, 52 blessés et 2600 déplacés, ainsi que d’importants dégâts matériels dont des maisons incendiées, selon le bilan officiel.
(AIP)
on/fmo/tm
« Il n’y aura pas d’impunité pour ceux qui ont choisi d’ôter la vie délibérément à autrui. Nous savons que des mains occultes ont dû manipuler les acteurs. Une enquête a été diligentée et nous punirons les coupables. Je serai ferme et sans état d’âme », a martelé M. Ouattara.
Pour le chef de l’Etat, « nul n’a le droit de se faire justice » car la Côte d’Ivoire dispose de cadres institutionnels pour régler les conflits de tout genre à savoir la Justice, la Médiature et la Chambre des Rois et chefs traditionnels qui vient récemment d’être mise en place.
Il faut désormais consolider les acquis de la paix, a conseillé le Président Ouattara, qui a lancé une mise en garde aux politiques et leaders d’opinion en menaçant qu’il n’acceptera pas la division de ses concitoyens et qu’il réagira « de la manière la plus vigoureuse » parce que la violence ne doit plus être érigée en « moyens de règlement des conflits ».
Le conflit parti d’une rixe entre des éleveurs Peulh et des cultivateurs Lobi à Panzarani (un village de Bouna) qui s’est mué en des violences intercommunautaires, a fait 32 morts, 52 blessés et 2600 déplacés, ainsi que d’importants dégâts matériels dont des maisons incendiées, selon le bilan officiel.
(AIP)
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