Les employés de l’ex-société de téléphonie mobile libanaise, Comium, ont assigné les dirigeants de la structure en justice, un mois après le retrait de la licence d’exploitation de l’entreprise, selon une notre transmise à ALERTE INFO.
Le régulateur du secteur des télécommunications de Côte d’Ivoire, l’ARTCI, a retiré le 29 mars 2016 la licence d’exploitation de Comuim et trois autres opérateurs, pour "non-respect" de leurs cahiers de charges.
Près de deux semaines après le retrait de la licence, les dirigeants de Comium Côte d’Ivoire, "ont quitté le pays, abandonnant les employés à leur triste sort, et ces derniers ne savent plus à quel saint se vouer", indique le texte.
Cette situation "inattendue" qui a mis les ex-agents "dans un état de désarroi total", a amené le collectif des employés à saisir les autorités judiciaires ivoiriennes, souligne la note.
Le 11 avril 2016, le siège de l’ex-société Comium, a été interdit d’accès au personnel, qui revendique des mesures d’accompagnement, entre autre le "paiement de 12 mois de salaires".
"Face à cette attitude qui frise le mépris les employés de Comium sont obligés de constater qu’ils ont été lésés de leur droit et ont décidé d’assigner leur employeur en justice", poursuit la note.
De plus, "aucune notification n’a été faite aux employés, encore moins une modification substantielle du contrat de travail" présentée pour obtenir leur accord, conclut le texte.
PAL
Le régulateur du secteur des télécommunications de Côte d’Ivoire, l’ARTCI, a retiré le 29 mars 2016 la licence d’exploitation de Comuim et trois autres opérateurs, pour "non-respect" de leurs cahiers de charges.
Près de deux semaines après le retrait de la licence, les dirigeants de Comium Côte d’Ivoire, "ont quitté le pays, abandonnant les employés à leur triste sort, et ces derniers ne savent plus à quel saint se vouer", indique le texte.
Cette situation "inattendue" qui a mis les ex-agents "dans un état de désarroi total", a amené le collectif des employés à saisir les autorités judiciaires ivoiriennes, souligne la note.
Le 11 avril 2016, le siège de l’ex-société Comium, a été interdit d’accès au personnel, qui revendique des mesures d’accompagnement, entre autre le "paiement de 12 mois de salaires".
"Face à cette attitude qui frise le mépris les employés de Comium sont obligés de constater qu’ils ont été lésés de leur droit et ont décidé d’assigner leur employeur en justice", poursuit la note.
De plus, "aucune notification n’a été faite aux employés, encore moins une modification substantielle du contrat de travail" présentée pour obtenir leur accord, conclut le texte.
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