ABIDJAN - L'ex-Première dame de Côte d'Ivoire, Simone Gbagbo, sera convoquée à la barre de la Cour d'assises d'Abidjan le 31 mai pour répondre des chefs d'accusation de "crimes contre l'humanité et crimes de guerre" lors des violences post-électorales de 2010.
L'annonce a été faite à l'ouverture lundi de la première session de la Cour d'assises devant laquelle vont défiler, outre Mme Gbagbo, une douzaine d'autres prévenus.
Selon le rôle rendu public, l'audience de Mme Gbagbo est prévue le 31 mai au palais de justice d'Abidjan, au cœur du quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne, le Plateau.
Agée de 65 ans, Simone Gbagbo a été déjà condamnée le 10 mars 2015 par la justice ivoirienne à 20 ans de prison pour "attentat contre l'autorité de l'Etat, participation à un mouvement insurrectionnel et trouble à l'ordre public" pour son rôle dans la crise née du refus de son mari de reconnaître la victoire d'Alassane Ouattara à l'élection présidentielle de novembre 2010.
Les violences ont fait en moins de six mois au moins 3.000 morts officiellement.
Mme Gbagbo est réclamée par la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye où son époux est en procès pour "crimes contre l'humanité" également.
L'annonce a été faite à l'ouverture lundi de la première session de la Cour d'assises devant laquelle vont défiler, outre Mme Gbagbo, une douzaine d'autres prévenus.
Selon le rôle rendu public, l'audience de Mme Gbagbo est prévue le 31 mai au palais de justice d'Abidjan, au cœur du quartier administratif et des affaires de la capitale économique ivoirienne, le Plateau.
Agée de 65 ans, Simone Gbagbo a été déjà condamnée le 10 mars 2015 par la justice ivoirienne à 20 ans de prison pour "attentat contre l'autorité de l'Etat, participation à un mouvement insurrectionnel et trouble à l'ordre public" pour son rôle dans la crise née du refus de son mari de reconnaître la victoire d'Alassane Ouattara à l'élection présidentielle de novembre 2010.
Les violences ont fait en moins de six mois au moins 3.000 morts officiellement.
Mme Gbagbo est réclamée par la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye où son époux est en procès pour "crimes contre l'humanité" également.