On aurait pu considérer le fait anecdotique et prétexter d’une indélicatesse ponctuelle. Sauf que pour être répétitive, la divulgation de noms de témoins « protégés » passe pour un signe caractéristique du procès conjoint Laurent Gbagbo-Charles Blé Goudé qui se joue à La Haye, depuis bientôt cinq mois.
Plusieurs fois, l’identité des témoins a été révélée : souvent, le fait des déposants eux-mêmes, d’autrefois, le fait de l’une des parties au procès (Défense ou Accusation), ou encore, celui du greffe. Les cas sont légion. On en retiendra les plus pertinents.
Mercredi 3 février 2016, cinq jours après le début du procès, le premier témoin de l’Accusation, désigné sous le nom de code P 547, donnait accidentellement son identité. Le témoin... suite de l'article sur L’Inter
Plusieurs fois, l’identité des témoins a été révélée : souvent, le fait des déposants eux-mêmes, d’autrefois, le fait de l’une des parties au procès (Défense ou Accusation), ou encore, celui du greffe. Les cas sont légion. On en retiendra les plus pertinents.
Mercredi 3 février 2016, cinq jours après le début du procès, le premier témoin de l’Accusation, désigné sous le nom de code P 547, donnait accidentellement son identité. Le témoin... suite de l'article sur L’Inter