Dabou – Le secrétaire général de la Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG), Yves Yao Kouamé, a rappelé mercredi, lors d’une campagne de sensibilisation des autorités administratives et politiques du district des Lagunes à Dabou, la nécessité pour les gouvernants de rendre compte afin d’endiguer le phénomène de la corruption qui n’épargne pas la Côte d’Ivoire.
‘’Il faudrait que les gouvernants sachent qu’ils doivent rendre des comptes’’, a déclaré le secrétaire général de la HABG aux préfets, secrétaires généraux de préfecture, sous-préfets, députés, maires et présidents de Conseils régionaux de ce district qui comprend les régions de la Mé, de l’Agneby-Tiassa et des Grands ponts.
‘’Si vous avez un mandat, c’est que vous avez un mandant et vous devez lui rendre compte’’, a insisté M. Kouamé qui exposait sur les objectifs des ordonnances 660 et 661 du 20 septembre 2013 qui sont au nombre de quatre, à savoir la transparence, la responsabilité, la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption, a-t-on relevé.
Après les autorités administratives et politiques, ce sera au tour des populations composées principalement des jeunes, des femmes, des responsables d’ONG, des guides religieux et des chefs traditionnels d’être outillés sur les principes de la bonne gouvernance, du 26 au 30 juin.
La HABG, créée par l’ordonnance No 2013-661 du 20 septembre 2013, est l’autorité administrative indépendante qui est chargée, entre autres, d’élaborer et de mettre en œuvre la stratégie nationale de lutte contre la corruption, de coordonner et d’assurer le suivi de la mise en œuvre des politiques de prévention et de lutte contre la corruption, note-t-on.
(AIP)
kkp/akn/tm
‘’Il faudrait que les gouvernants sachent qu’ils doivent rendre des comptes’’, a déclaré le secrétaire général de la HABG aux préfets, secrétaires généraux de préfecture, sous-préfets, députés, maires et présidents de Conseils régionaux de ce district qui comprend les régions de la Mé, de l’Agneby-Tiassa et des Grands ponts.
‘’Si vous avez un mandat, c’est que vous avez un mandant et vous devez lui rendre compte’’, a insisté M. Kouamé qui exposait sur les objectifs des ordonnances 660 et 661 du 20 septembre 2013 qui sont au nombre de quatre, à savoir la transparence, la responsabilité, la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption, a-t-on relevé.
Après les autorités administratives et politiques, ce sera au tour des populations composées principalement des jeunes, des femmes, des responsables d’ONG, des guides religieux et des chefs traditionnels d’être outillés sur les principes de la bonne gouvernance, du 26 au 30 juin.
La HABG, créée par l’ordonnance No 2013-661 du 20 septembre 2013, est l’autorité administrative indépendante qui est chargée, entre autres, d’élaborer et de mettre en œuvre la stratégie nationale de lutte contre la corruption, de coordonner et d’assurer le suivi de la mise en œuvre des politiques de prévention et de lutte contre la corruption, note-t-on.
(AIP)
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