L’opération Epervier lancée par la Police nationale le 17 mai dernier, pour faire face au phénomène des « microbes », nom donné aux délinquants mineurs spécialisés dans les crimes et autres formes d’agression, a permis d’interpeller en 48 heures 422 personnes dont 174 pour la seule journée de jeudi. L’information a été donnée par le Préfet de police d’Abidjan, Yao Kouamé Joseph, au cours d’un point de presse jeudi.
Le préfet de police a en outre indiqué que 21 fumoirs ont été détruits au cours de ces dernières 48heures. 266 boulettes de cannabis et des armes blanches notamment des couteaux, machettes et paires de ciseaux ont été saisis au cours de cette opération. L’opération avait permis la veille l’interpellation de 248 personnes.
De 3000 agents issus de la préfecture de police, du Centre de Coordination des Décision opérationnelles (CCDO) et de la Direction des Unités d’intervention (DUI) engagés dans l’opération dès son lancement, l’effectif des forces de sécurités a été revu à la hausse passant à 3500 éléments, a indiqué Yao Kouamé Joseph.
Selon les autorités policières, cette opération n’est pas prête de s’arrêter. Mieux elle se poursuivra jusqu’à mettre hors d’état de nuire tous les « microbes » et assurer la quiétude et la sécurité de l’ensemble des populations.
L’opération a été lancée après une vague d’agressions perpétrées par les microbes dans plusieurs quartiers d’Abidjan et plus principalement dans ceux d’Abobo et Yopougon.
Elisée B.
Le préfet de police a en outre indiqué que 21 fumoirs ont été détruits au cours de ces dernières 48heures. 266 boulettes de cannabis et des armes blanches notamment des couteaux, machettes et paires de ciseaux ont été saisis au cours de cette opération. L’opération avait permis la veille l’interpellation de 248 personnes.
De 3000 agents issus de la préfecture de police, du Centre de Coordination des Décision opérationnelles (CCDO) et de la Direction des Unités d’intervention (DUI) engagés dans l’opération dès son lancement, l’effectif des forces de sécurités a été revu à la hausse passant à 3500 éléments, a indiqué Yao Kouamé Joseph.
Selon les autorités policières, cette opération n’est pas prête de s’arrêter. Mieux elle se poursuivra jusqu’à mettre hors d’état de nuire tous les « microbes » et assurer la quiétude et la sécurité de l’ensemble des populations.
L’opération a été lancée après une vague d’agressions perpétrées par les microbes dans plusieurs quartiers d’Abidjan et plus principalement dans ceux d’Abobo et Yopougon.
Elisée B.