ABIDJAN - Une rencontre sous-régionale sur la convention pour l'interdiction des armes chimiques s'est ouverte mardi à Abidjan avec pour objectif de permettre aux fonctionnaires des services douaniers et portuaires ouest-africains de confronter leurs expériences et bonnes pratiques au regard de la Convention.
La rencontre de deux jours devraient permettre aux participants d'identifier les produits chimiques indexés à la Convention, de recenser les sources d'informations dont disposent les fonctionnaires des douanes et de discuter des questions liées aux divergences dans les déclarations de transfert des produits chimiques, les transbordements et les logiciels utilisés.
"L'intérêt de cette formation est de réduire, voire éliminer les différences dans les déclarations des produits chimiques ayant fait l'objet de transfert entre deux Etats-parties à la Convention et donc d'assurer la traçabilité des produits dangereux et la sécurité chimique, c'est-à-dire l'utilisation des produits chimiques à des fins pacifiques", a indiqué le pharmacien-colonel Nanga Zinzendors, secrétaire permanant de la Commission pour l'Interdiction des armes chimiques (OIAC) en Côte d'Ivoire, à l'ouverture des travaux.
La Convention sur l'interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de l'emploi des armes chimiques et sur leur destruction est un traité multilatéral entré en vigueur en avril 1997 après avoir été ouvert à la signature en 1993.
La Côte d'Ivoire, Etat-partie au traité, a adopté en 1993 une loi sur l'interdiction et la destruction des armes chimiques.
La rencontre de deux jours devraient permettre aux participants d'identifier les produits chimiques indexés à la Convention, de recenser les sources d'informations dont disposent les fonctionnaires des douanes et de discuter des questions liées aux divergences dans les déclarations de transfert des produits chimiques, les transbordements et les logiciels utilisés.
"L'intérêt de cette formation est de réduire, voire éliminer les différences dans les déclarations des produits chimiques ayant fait l'objet de transfert entre deux Etats-parties à la Convention et donc d'assurer la traçabilité des produits dangereux et la sécurité chimique, c'est-à-dire l'utilisation des produits chimiques à des fins pacifiques", a indiqué le pharmacien-colonel Nanga Zinzendors, secrétaire permanant de la Commission pour l'Interdiction des armes chimiques (OIAC) en Côte d'Ivoire, à l'ouverture des travaux.
La Convention sur l'interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de l'emploi des armes chimiques et sur leur destruction est un traité multilatéral entré en vigueur en avril 1997 après avoir été ouvert à la signature en 1993.
La Côte d'Ivoire, Etat-partie au traité, a adopté en 1993 une loi sur l'interdiction et la destruction des armes chimiques.