Abidjan – Le Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique (PASRES) a lancé, mercredi, à l’Ecole normale supérieure (ENS) d’Abidjan-Cocody, un programme de formation de vingt étudiants en thèse de doctorat à l’entrepreneuriat dans le cadre de la réduction de la pauvreté à travers le financement de projets de recherche de haute qualité susceptibles d’avoir un impact bénéfique sur le développement durable du pays par la création d’entreprises innovatrices.
Cette formation de trois jours vise à susciter chez les auditeurs vision et motivation en mettant à leur disposition « les rudiments nécessaires pour devenir des entrepreneurs par leur intégration dans le milieu des affaires, de l’entrepreneuriat et de la valorisation économique des résultats de recherche par la création d’entreprises », selon le secrétaire exécutif du PASRES, Sangaré Yaya.
Citant l’exemple de 1 026 entreprises et plus de 7 000 emplois créés entre 1999 et 2015 dans les domaines des TIC, de la biologie, la chimie, la santé et l’environnement, il a indiqué que « les jeunes peuvent avoir des carrières prometteuses dans ces domaines qui peuvent efficacement contribuer à résorber le chômage ».
Les jeunes diplômés devraient désormais être davantage « créateurs d’emplois » que simples « employés » dans un pays qui compte 77% de sa population de jeunes de moins de 35 ans et où moins de 10% de la population active occupent des « emplois modernes », a exprimé le directeur général de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Kati-Coulibaly Séraphin, à l’ouverture des travaux..
(AIP)
aaa/ask
Cette formation de trois jours vise à susciter chez les auditeurs vision et motivation en mettant à leur disposition « les rudiments nécessaires pour devenir des entrepreneurs par leur intégration dans le milieu des affaires, de l’entrepreneuriat et de la valorisation économique des résultats de recherche par la création d’entreprises », selon le secrétaire exécutif du PASRES, Sangaré Yaya.
Citant l’exemple de 1 026 entreprises et plus de 7 000 emplois créés entre 1999 et 2015 dans les domaines des TIC, de la biologie, la chimie, la santé et l’environnement, il a indiqué que « les jeunes peuvent avoir des carrières prometteuses dans ces domaines qui peuvent efficacement contribuer à résorber le chômage ».
Les jeunes diplômés devraient désormais être davantage « créateurs d’emplois » que simples « employés » dans un pays qui compte 77% de sa population de jeunes de moins de 35 ans et où moins de 10% de la population active occupent des « emplois modernes », a exprimé le directeur général de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, Kati-Coulibaly Séraphin, à l’ouverture des travaux..
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