Le Japon est passé d’une politique de gestion des déchets à une approche intégrée de la gestion des matières et des déchets qui encouragent la dématérialisation et une utilisation des ressources efficaces.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les Japonais sont très interressés par le tri sélectif des déchets, et que la politique dans ce domaine est une totale réussite.
Les habitants l’ont complètement intégré dans leurs habitudes de vie. Il faut séparer les déchets combustibles des déchets non-combustibles.
Les combustibles regroupent les papiers et les déchets organiques, essentiellement alimentaires. Les non-combustibles regroupent le cuir, le verre cassé, la céramique, les flacons spray, les plastiques alimentaires, les plastiques chimiques (flacons de produit vaisselle ou détergents par exemple), etc…
Attention cependant, tous les plastiques ne sont pas similaires, ils doivent donc être triés dans des sacs séparés. Viennent ensuite les déchets recyclables : objets métalliques (boîtes de conserve, canettes, bouchons), cartons d’emballage (qu’il faut plier et ficeler), journaux (qu’il faut aussi ficeler) et prospectus publicitaires (qui étouffent les boîtes aux lettres), bouteilles en verre…
Ensuite déposer les ordures sur le trottoir à l’endroit prévu à cet effet. À faire avant l’heure de passage de la voirie. Ce sont des progrès accomplis pour édifier une société fondée sur un cycle des matières écologiquement rationnelles, selon le principe des 3R (réduire, réutiliser et recycler).
Les déchets incombustibles sont transportés et traités de façon appropriée (pulvérisation et séparation) au centre de traitement des déchets incombustibles, qui est une installation de traitement intermédiaire. En particulier, grâce à la récupération d’énergie des déchets en plastique. 21 usines d’incinération des déchets sont en opération stable et sécurisée dans des zones centrales de villes où un bon nombre de logements et de bureaux se concentrent. L’incinération réduit le volume des déchets de 95% environ et contribue à la résolution de la pénurie de sites de décharges. Tokyo faisait face à des difficultés variées dans la gestion des déchets, mais des efforts ont été fourni par le gouvernement japonais afin de faire face à la gestion des déchets.
Toutes les villes du monde devraient s’inspirer du modèle de Tokyo afin de résoudre la gestion des déchets.
Florence Bayala
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les Japonais sont très interressés par le tri sélectif des déchets, et que la politique dans ce domaine est une totale réussite.
Les habitants l’ont complètement intégré dans leurs habitudes de vie. Il faut séparer les déchets combustibles des déchets non-combustibles.
Les combustibles regroupent les papiers et les déchets organiques, essentiellement alimentaires. Les non-combustibles regroupent le cuir, le verre cassé, la céramique, les flacons spray, les plastiques alimentaires, les plastiques chimiques (flacons de produit vaisselle ou détergents par exemple), etc…
Attention cependant, tous les plastiques ne sont pas similaires, ils doivent donc être triés dans des sacs séparés. Viennent ensuite les déchets recyclables : objets métalliques (boîtes de conserve, canettes, bouchons), cartons d’emballage (qu’il faut plier et ficeler), journaux (qu’il faut aussi ficeler) et prospectus publicitaires (qui étouffent les boîtes aux lettres), bouteilles en verre…
Ensuite déposer les ordures sur le trottoir à l’endroit prévu à cet effet. À faire avant l’heure de passage de la voirie. Ce sont des progrès accomplis pour édifier une société fondée sur un cycle des matières écologiquement rationnelles, selon le principe des 3R (réduire, réutiliser et recycler).
Les déchets incombustibles sont transportés et traités de façon appropriée (pulvérisation et séparation) au centre de traitement des déchets incombustibles, qui est une installation de traitement intermédiaire. En particulier, grâce à la récupération d’énergie des déchets en plastique. 21 usines d’incinération des déchets sont en opération stable et sécurisée dans des zones centrales de villes où un bon nombre de logements et de bureaux se concentrent. L’incinération réduit le volume des déchets de 95% environ et contribue à la résolution de la pénurie de sites de décharges. Tokyo faisait face à des difficultés variées dans la gestion des déchets, mais des efforts ont été fourni par le gouvernement japonais afin de faire face à la gestion des déchets.
Toutes les villes du monde devraient s’inspirer du modèle de Tokyo afin de résoudre la gestion des déchets.
Florence Bayala