Le caporal de l’armée Charles Lewis Konhi est détenu à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca) depuis mai dernier. A en croire une source crédible, ce prisonnier politique incarcéré dans la cellule A-202 a les pieds qui ne cessent d’enfler de jour en jour en plus de son genou qui lui fait extrêmement mal pour avoir subi des sévices corporels énormes lors de son arrestation pour, dit-on, «atteinte à la sureté de l’Etat».
La famille du soldat, très inquiète, appelle au secours la Commission nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (Cndhci), la Ligue ivoirienne des Droits de l’Homme (Lidho), les Ong de lutte contre les violations des Droits de l’Homme, ainsi que l’Onuci, afin que le caporal Charles Lewis Konhi soit admis dans un hôpital pour des soins.
Pour rappel, le caporal Charles Lewis Konhi est rentré d’exil en 2014, suite à l’appel du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, en faveur du retour des exilés et des réfugiés. Mais, contre toute attente, il a été mis aux arrêts à Séguéla en 2016 sous prétexte qu’il aurait soutenu militairement le régime du président Laurent Gbagbo renversé par l’armée française et la rébellion armée.
Doumbia Namory
Correspondant permanent dans la région du Goh
La famille du soldat, très inquiète, appelle au secours la Commission nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (Cndhci), la Ligue ivoirienne des Droits de l’Homme (Lidho), les Ong de lutte contre les violations des Droits de l’Homme, ainsi que l’Onuci, afin que le caporal Charles Lewis Konhi soit admis dans un hôpital pour des soins.
Pour rappel, le caporal Charles Lewis Konhi est rentré d’exil en 2014, suite à l’appel du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, en faveur du retour des exilés et des réfugiés. Mais, contre toute attente, il a été mis aux arrêts à Séguéla en 2016 sous prétexte qu’il aurait soutenu militairement le régime du président Laurent Gbagbo renversé par l’armée française et la rébellion armée.
Doumbia Namory
Correspondant permanent dans la région du Goh