Alfred Mideh, président du Réseau national de la campagne de sensibilisation sur la cohésion sociale, (RNCSCS), a bien voulu expliquer le bien-fondé de son réseau.
A quoi sert votre réseau et combien de temps va durer cette campagne ?
Ce réseau sert à sensibiliser la population ivoirienne sur la cohésion sociale et la nécessité de se faire inscrire massivement sur la liste électorale. En tant qu’expert en développement communautaire et politologue, j’ai vu qu’il y avait un manque de sensibilisation de nos populations donc, il fallait tout faire pour combler ce vide. C’est pourquoi, le réseau s’est donné pour mission, d’amener tout le peuple vivant sur le territoire ivoirien, à se faire inscrire massivement sur la liste électorale et permettre au Ivoiriens d’accepter nos différences du point de vue ethniques, idéologiques, professionnelles et religieuses. Nous, en tant qu’expert en développement communautaire, devrons être capables de réfléchir pour le bien-être de notre communauté, d’éviter les conflits intercommunautaires et aider la Cei à gagner son pari. Cette campagne va durer trois mois renouvelables.
Avez-vous pris contact avec les premiers responsables des différentes régions où vous comptez déployer vos agents ?
Bien sûr, parce que nous avons l’habitude de travailler avec les préfets, les maires, les conseils généraux, et les chefs de cantons qui sont dans le RNCSCS, parce qu’ensemble avec ses personnalités, on peut faire quelque chose de meilleure. Quand on parle de société civile, tout le monde est concerné. C’est pourquoi depuis 2013, les mouvements œuvrant dans le cursus social ont réfléchi ensemble comment faire pour donner un coup de pouce au gouvernement dans l’élan pour la cohésion sociale.
Etes- vous en contact avec la Cei?
Nous sommes bien en contact avec la Cei. La preuve est que lors du lancement de cette grande campagne de sensibilisation de nos populations, nous avons reçu un représentant de l’institution électorale venant directement de la part du président Youssouf Bakayoko, parce qu’il connait le travail que nous abattons.
Que deviendront vos agents après cette campagne de sensibilisation?
Après les trois mois de mission, nous ferons un rapport et ces agents continueront, leur travail, parce qu’il y a le référendum, les élections législatives, les conseils municipaux et les conseils régionaux. A ce titre, il est important que ces agents repartent sur le terrain pour continuer cette sensibilisation, pour ne pas que le peuple ivoirien soit marginalisé.
Si vous aviez l’occasion de signer un partenariat avec la Cei, quelle serait votre réaction ?
Je pense que cette occasion sera un honneur pour moi. C’est pourquoi au nom de la société civile, je demande au président Youssouf Bakayoko, de pousser la date butoir de cette opération jusqu’à deux semaines de plus, afin que nous puissions mener à bien, notre mission, tout en gagnant notre pari, qui est celui de passer de huit millions d’inscrits à vingt-deux millions d’inscrits. Selon les statistiques que nous avons reçues, il y a huit millions d’inscrits sur les vingt- deux millions. Alors, il faut donner la chance aux autres de se faire inscrire sur la liste électorale, tout en évitant que les huit millions décident à la place des autres.
Je lance un appel capital au gouvernement ivoirien, de nous soutenir à faire une campagne nationale. Parce que c’est le manque de sensibilisation de nos vaillants peuples, qui a entrainé la crise ivoirienne. Alors, que la cohésion sociale, est l’élément clé d’une réconciliation durable et d’une paix certaine.
Réaliser par T.Z
A quoi sert votre réseau et combien de temps va durer cette campagne ?
Ce réseau sert à sensibiliser la population ivoirienne sur la cohésion sociale et la nécessité de se faire inscrire massivement sur la liste électorale. En tant qu’expert en développement communautaire et politologue, j’ai vu qu’il y avait un manque de sensibilisation de nos populations donc, il fallait tout faire pour combler ce vide. C’est pourquoi, le réseau s’est donné pour mission, d’amener tout le peuple vivant sur le territoire ivoirien, à se faire inscrire massivement sur la liste électorale et permettre au Ivoiriens d’accepter nos différences du point de vue ethniques, idéologiques, professionnelles et religieuses. Nous, en tant qu’expert en développement communautaire, devrons être capables de réfléchir pour le bien-être de notre communauté, d’éviter les conflits intercommunautaires et aider la Cei à gagner son pari. Cette campagne va durer trois mois renouvelables.
Avez-vous pris contact avec les premiers responsables des différentes régions où vous comptez déployer vos agents ?
Bien sûr, parce que nous avons l’habitude de travailler avec les préfets, les maires, les conseils généraux, et les chefs de cantons qui sont dans le RNCSCS, parce qu’ensemble avec ses personnalités, on peut faire quelque chose de meilleure. Quand on parle de société civile, tout le monde est concerné. C’est pourquoi depuis 2013, les mouvements œuvrant dans le cursus social ont réfléchi ensemble comment faire pour donner un coup de pouce au gouvernement dans l’élan pour la cohésion sociale.
Etes- vous en contact avec la Cei?
Nous sommes bien en contact avec la Cei. La preuve est que lors du lancement de cette grande campagne de sensibilisation de nos populations, nous avons reçu un représentant de l’institution électorale venant directement de la part du président Youssouf Bakayoko, parce qu’il connait le travail que nous abattons.
Que deviendront vos agents après cette campagne de sensibilisation?
Après les trois mois de mission, nous ferons un rapport et ces agents continueront, leur travail, parce qu’il y a le référendum, les élections législatives, les conseils municipaux et les conseils régionaux. A ce titre, il est important que ces agents repartent sur le terrain pour continuer cette sensibilisation, pour ne pas que le peuple ivoirien soit marginalisé.
Si vous aviez l’occasion de signer un partenariat avec la Cei, quelle serait votre réaction ?
Je pense que cette occasion sera un honneur pour moi. C’est pourquoi au nom de la société civile, je demande au président Youssouf Bakayoko, de pousser la date butoir de cette opération jusqu’à deux semaines de plus, afin que nous puissions mener à bien, notre mission, tout en gagnant notre pari, qui est celui de passer de huit millions d’inscrits à vingt-deux millions d’inscrits. Selon les statistiques que nous avons reçues, il y a huit millions d’inscrits sur les vingt- deux millions. Alors, il faut donner la chance aux autres de se faire inscrire sur la liste électorale, tout en évitant que les huit millions décident à la place des autres.
Je lance un appel capital au gouvernement ivoirien, de nous soutenir à faire une campagne nationale. Parce que c’est le manque de sensibilisation de nos vaillants peuples, qui a entrainé la crise ivoirienne. Alors, que la cohésion sociale, est l’élément clé d’une réconciliation durable et d’une paix certaine.
Réaliser par T.Z
