Abidjan - La Chambre de commerce et d’industrie libanaise de Côte d’Ivoire (CCILCI) s’engage à soutenir les actions du ministère de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement pour éradiquer les sachets plastiques, a annoncé vendredi à Abidjan, son directeur général, Michel Rustom, au cours d’une rencontre avec la ministre Anne Désirée Ouloto et celui de l’Industrie et des Mines, Jean Claude Brou.
"Les industries se proposent d’accompagner le ministère dans la résolution de ce dossier", a indiqué M. Rustom, accompagné de trois industriels de la filière plastique. Il a expliqué que sa structure, notamment les industriels de la filière n’entendent nullement aller à l’encontre du décret sur la suppression et la production des sachets plastiques.
La ministre de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement a pour sa part affiché la détermination du gouvernement à régler cette problématique qui devrait être réglée avec célérité pour faire disparaître les sachets plastiques du quotidien des populations. "Il ne faut pas nous donner le sentiment que vous voulez contourner le décret. On ne veut plus qu’il y ait de production de sachet plastique", a prévenu Mme Ouloto.
Elle a exhorté ses hôtes à privilégier des plans de reconversion, expliquant que la question des sachets plastiques va au-delà de la Côte d’Ivoire. C’est une question de gouvernance mondiale, a signifié la ministre, indiquant un chronogramme de rencontre pour un règlement définitif et durable de la question.
Le ministre de l’Industrie et des Mines a pour sa part dénoncé la recrudescence des sachets plastiques sur le territoire national. Estimant qu’ il y a plus de sachets aujourd’hui car les entreprises n’ont rien respecté, Jean Claude Brou a exhorté les industriels à plus d’engagement et de franchise pour adresser la question. "Donnez nous des solutions claires qui nous permettent de régler définitivement ce problème", a-t-il préconisé.
Le gouvernement a pris en mai 2013, un décret portant interdiction de la production, de l’importation, de la commercialisation et de l’utilisation des déchets plastiques en Côte d’Ivoire. La mesure est entrée en vigueur le 08 novembre 2014.
(AIP)
gak/cmas
"Les industries se proposent d’accompagner le ministère dans la résolution de ce dossier", a indiqué M. Rustom, accompagné de trois industriels de la filière plastique. Il a expliqué que sa structure, notamment les industriels de la filière n’entendent nullement aller à l’encontre du décret sur la suppression et la production des sachets plastiques.
La ministre de la Salubrité urbaine et de l’Assainissement a pour sa part affiché la détermination du gouvernement à régler cette problématique qui devrait être réglée avec célérité pour faire disparaître les sachets plastiques du quotidien des populations. "Il ne faut pas nous donner le sentiment que vous voulez contourner le décret. On ne veut plus qu’il y ait de production de sachet plastique", a prévenu Mme Ouloto.
Elle a exhorté ses hôtes à privilégier des plans de reconversion, expliquant que la question des sachets plastiques va au-delà de la Côte d’Ivoire. C’est une question de gouvernance mondiale, a signifié la ministre, indiquant un chronogramme de rencontre pour un règlement définitif et durable de la question.
Le ministre de l’Industrie et des Mines a pour sa part dénoncé la recrudescence des sachets plastiques sur le territoire national. Estimant qu’ il y a plus de sachets aujourd’hui car les entreprises n’ont rien respecté, Jean Claude Brou a exhorté les industriels à plus d’engagement et de franchise pour adresser la question. "Donnez nous des solutions claires qui nous permettent de régler définitivement ce problème", a-t-il préconisé.
Le gouvernement a pris en mai 2013, un décret portant interdiction de la production, de l’importation, de la commercialisation et de l’utilisation des déchets plastiques en Côte d’Ivoire. La mesure est entrée en vigueur le 08 novembre 2014.
(AIP)
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