Le candidat indépendant à la mairie du Plateau, Fabrice Sawegnon ; par ailleurs, directeur général du groupe Vodoo Communication était face à la presse, le mardi 19 juillet 2016 dans un réceptif hôtelier situé à Abidjan-Plateau.
A cette occasion, Fabrice Sawegnon a révélé les grandes motivations de sa candidature. « Je me suis rendu compte que la commune du Plateau, celle qui m’a vu grandir ne reflète plus sa splendeur du passé. Nous constatons un lot d’immeubles mal peints, les écoles dans un état de délabrement avancé, les infrastructures scolaires méconnaissables, l’aide social n’existe plus, la bibliothèque nationale et le musée se meurent à petit feu(…) A force d’aider individuellement les habitants de ma commune, je me suis dit que nous devons élargir cette aide à toute la communauté », a-t-il affirmé. Pour lui, vu le budget de la mairie estimé à neuf milliards de FCFA, les huit mille habitants du Plateau devraient avoir un niveau de vie acceptable. Mais, selon lui, le constat est tout autre : « Des habitants vivent dans les sous-sols d’immeubles, dans des situations de précarité avancée. Au vu et au su de tout le monde». C’est pour remédier à tous ces maux qu’il dit, avoir décidé d’être candidat.
« Je suis un gamin brillant »
Réagissant sur une question d’un journaliste stipulant qu’à la veille de cette rencontre, Akossi Bendjo, maire sortant du Plateau l’avait qualifié de gamin, Fabrice Sawegnon a répondu qu’il est un gamin brillant. « Si je suis un gamin, c’est que je suis un gamin brillant. Mon parcours le montre bien. J’ai fait campagne pour quatorze candidats à la présidentielle dans des pays Africains, treize ont été vainqueurs. J’ai débuté avec cinq salariés, aujourd’hui ma structure embauche trois cents personnes », a-t-il fait savoir. Toutefois, il a invité son adversaire à mettre de l’eau dans son vin : « Bendjo est un grand-frère que je respecte. Ne tombons pas dans les histoires personnelles et des palabres. Mon éducation ne me permet pas de tenir un langage irrespectueux. C’est le développement de la commune qui importe. Je ne suis pas un politicien, je fais juste du give-back. Je veux redonner à la communauté ce qu’elle m’a donné donc évitons les histoires(…) Je suis un produit d’Houphouët. Un homme qui nous a inculqué des valeurs et du respect».
MB
A cette occasion, Fabrice Sawegnon a révélé les grandes motivations de sa candidature. « Je me suis rendu compte que la commune du Plateau, celle qui m’a vu grandir ne reflète plus sa splendeur du passé. Nous constatons un lot d’immeubles mal peints, les écoles dans un état de délabrement avancé, les infrastructures scolaires méconnaissables, l’aide social n’existe plus, la bibliothèque nationale et le musée se meurent à petit feu(…) A force d’aider individuellement les habitants de ma commune, je me suis dit que nous devons élargir cette aide à toute la communauté », a-t-il affirmé. Pour lui, vu le budget de la mairie estimé à neuf milliards de FCFA, les huit mille habitants du Plateau devraient avoir un niveau de vie acceptable. Mais, selon lui, le constat est tout autre : « Des habitants vivent dans les sous-sols d’immeubles, dans des situations de précarité avancée. Au vu et au su de tout le monde». C’est pour remédier à tous ces maux qu’il dit, avoir décidé d’être candidat.
« Je suis un gamin brillant »
Réagissant sur une question d’un journaliste stipulant qu’à la veille de cette rencontre, Akossi Bendjo, maire sortant du Plateau l’avait qualifié de gamin, Fabrice Sawegnon a répondu qu’il est un gamin brillant. « Si je suis un gamin, c’est que je suis un gamin brillant. Mon parcours le montre bien. J’ai fait campagne pour quatorze candidats à la présidentielle dans des pays Africains, treize ont été vainqueurs. J’ai débuté avec cinq salariés, aujourd’hui ma structure embauche trois cents personnes », a-t-il fait savoir. Toutefois, il a invité son adversaire à mettre de l’eau dans son vin : « Bendjo est un grand-frère que je respecte. Ne tombons pas dans les histoires personnelles et des palabres. Mon éducation ne me permet pas de tenir un langage irrespectueux. C’est le développement de la commune qui importe. Je ne suis pas un politicien, je fais juste du give-back. Je veux redonner à la communauté ce qu’elle m’a donné donc évitons les histoires(…) Je suis un produit d’Houphouët. Un homme qui nous a inculqué des valeurs et du respect».
MB