A Bocanda, tous les villages des sous-préfectures de Bocanda, Bengassou et Kouadioblekro seront délimités à travers la mise en œuvre du projet PARFACI-Projet d’Appui à la Relance des Filières Agricoles de Côte d’Ivoire, c’est ce qu’a affirmé le Sous-Directeur de la Sécurisation Foncière de la Direction du Foncier Rural du Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural, M. Idrissa Seynou, lors de la campagne d’explication de la loi relative au domaine foncier rural qui s’est tenue le 21 juillet 2016 à la Préfecture de Bocanda à 11 heures.
Placé sous la présidence du Préfet dudit département M. AMANKOU Kassi Gabin, les populations rurales se sont fortement mobilisées pour écouter le message de la Direction du Foncier Rural. Lors de son allocution, il a rappelé aux populations que le succès de ce pays reposait sur l’agriculture d’où la nécessité de certifier ces terres à vocation agricole. Cela évite non seulement les conflits mais permet une exploitation sécurisée des plantations. C’est pourquoi a-t-il dit et je cite « je vous invite à saisir cette opportunité que nous avons eu à être choisi parmi les 108 départements de la côte d’Ivoire, pour la mise en œuvre du projet PARFACI afin d’en faire une réussite totale à Bocanda ».
En dehors de la délimitation de tous les territoires de villages des trois sous-préfectures citées en sus, il est prévu la délivrance de certificats fonciers sur une superficie de 2000 ha dans un village des trois sous-préfectures. M. SEYNOU Idrissa a expliqué les différentes procédures aboutissant à la délimitation des territoires de villages et de parcelles. La grande préoccupation des populations se referait aux problèmes de l’orpaillage. L’exposant, M. SEYNOU Idrissa leur a expliqué que toutes les richesses du sous-sol appartenaient à l’Etat de Côte d’Ivoire, et que si jamais ces minerais se trouvaient sur une terre rurale, le propriétaire terrien serait dédommagé et le montant de l’indemnité variait en fonction du type de papier qu’avait le propriétaire terrien sur ce sol et l’exploitation faite. A ce niveau le Préfet de département a tenu à préciser que Bocanda présentait une exception car a-t-il dit, lui en tant que représentant de tous les ministères de Côte d’Ivoire dans son département devait mettre en application les décisions de tous les ministères et qu’au niveau de l’orpaillage, une autorisation a été donnée par le Ministère des mines pour l’exploitation de la terre par le requérant et par conséquent le requérant a le droit d’exploiter cette terre conformément à l’autorisation reçue. Il a donc demandé à la population de respecter cette autorisation et laisser le requérant exploiter les terres.
R. K.
Placé sous la présidence du Préfet dudit département M. AMANKOU Kassi Gabin, les populations rurales se sont fortement mobilisées pour écouter le message de la Direction du Foncier Rural. Lors de son allocution, il a rappelé aux populations que le succès de ce pays reposait sur l’agriculture d’où la nécessité de certifier ces terres à vocation agricole. Cela évite non seulement les conflits mais permet une exploitation sécurisée des plantations. C’est pourquoi a-t-il dit et je cite « je vous invite à saisir cette opportunité que nous avons eu à être choisi parmi les 108 départements de la côte d’Ivoire, pour la mise en œuvre du projet PARFACI afin d’en faire une réussite totale à Bocanda ».
En dehors de la délimitation de tous les territoires de villages des trois sous-préfectures citées en sus, il est prévu la délivrance de certificats fonciers sur une superficie de 2000 ha dans un village des trois sous-préfectures. M. SEYNOU Idrissa a expliqué les différentes procédures aboutissant à la délimitation des territoires de villages et de parcelles. La grande préoccupation des populations se referait aux problèmes de l’orpaillage. L’exposant, M. SEYNOU Idrissa leur a expliqué que toutes les richesses du sous-sol appartenaient à l’Etat de Côte d’Ivoire, et que si jamais ces minerais se trouvaient sur une terre rurale, le propriétaire terrien serait dédommagé et le montant de l’indemnité variait en fonction du type de papier qu’avait le propriétaire terrien sur ce sol et l’exploitation faite. A ce niveau le Préfet de département a tenu à préciser que Bocanda présentait une exception car a-t-il dit, lui en tant que représentant de tous les ministères de Côte d’Ivoire dans son département devait mettre en application les décisions de tous les ministères et qu’au niveau de l’orpaillage, une autorisation a été donnée par le Ministère des mines pour l’exploitation de la terre par le requérant et par conséquent le requérant a le droit d’exploiter cette terre conformément à l’autorisation reçue. Il a donc demandé à la population de respecter cette autorisation et laisser le requérant exploiter les terres.
R. K.