Le ministre togolais des Affaires Etrangères, de la Coopération et de l'Intégration Africaine, Robert Dussey, a appelé mercredi à Lomé les dirigeants politiques africains, à revisiter les plans et stratégies de lutte pour la paix sur le continent.
"Il nous faut revoir nos copies et prendre le temps minimum nécessaire pour réfléchir et mieux planifier nos actions de lutte pour la paix sur le continent", a-t-il déclaré.
S'exprimant à l'ouverture des travaux des Consultations Afrique-Chine-USA, pour la paix en Afrique, le chef de la diplomatie togolaise a estimé que l'action pour briser le cycle infernal de violence et d'intolérance sur le continent africain doit être suffisamment bien préparée.
L'action pour briser le cycle infernal de violence et d'intolérance sur le continent doit être "une vision commune, avec des cibles et des objectifs communs, atteignables par des moyens et des procédés collectifs et planifiés", a-t-il indiqué.
En effet, a-t-il souligné, la question de la paix et de la sécurité en Afrique est un défi frontal que les dirigeants politiques du continent ne doivent plus esquiver, ni négliger, encore moins ignorer.
"Cette question se dresse devant nous comme un frein visible à nos jeunes et prometteuses économies en pleine croissance ; elle s'affiche comme un obstacle évident à notre tranquillité, à notre humanité et à notre volonté de vivre ensemble", a-t-il indiqué.
Il a également précisé que cette situation est d'autant plus grave que les différentes mesures et stratégies prises, aussi bien au niveau des Etats africains qu'au niveau des organisations sous-régionales, ne produisent pas encore les effets escomptés.
"Il nous faut revoir nos copies et prendre le temps minimum nécessaire pour réfléchir et mieux planifier nos actions de lutte pour la paix sur le continent", a-t-il déclaré.
S'exprimant à l'ouverture des travaux des Consultations Afrique-Chine-USA, pour la paix en Afrique, le chef de la diplomatie togolaise a estimé que l'action pour briser le cycle infernal de violence et d'intolérance sur le continent africain doit être suffisamment bien préparée.
L'action pour briser le cycle infernal de violence et d'intolérance sur le continent doit être "une vision commune, avec des cibles et des objectifs communs, atteignables par des moyens et des procédés collectifs et planifiés", a-t-il indiqué.
En effet, a-t-il souligné, la question de la paix et de la sécurité en Afrique est un défi frontal que les dirigeants politiques du continent ne doivent plus esquiver, ni négliger, encore moins ignorer.
"Cette question se dresse devant nous comme un frein visible à nos jeunes et prometteuses économies en pleine croissance ; elle s'affiche comme un obstacle évident à notre tranquillité, à notre humanité et à notre volonté de vivre ensemble", a-t-il indiqué.
Il a également précisé que cette situation est d'autant plus grave que les différentes mesures et stratégies prises, aussi bien au niveau des Etats africains qu'au niveau des organisations sous-régionales, ne produisent pas encore les effets escomptés.