Abidjan,- Le procès du correspondant de Radio France internationale (RFI) en langue haoussa à Maroua, Ahmed Abba, détenu depuis un an au Cameroun et accusé d'intelligence avec le groupe djihadiste nigérian Boko Haram, a été renvoyé mercredi au 7 septembre.
La justice lui reproche de ne pas avoir partagé avec les autorités des informations qu'il a collectées sur certains membres du groupe djihadiste, qui mène des attaques dans le nord du Cameroun.
Selon l'avocat du journaliste Me Charles Tchougang, cité par l’AFP, M. Abba informait régulièrement les autorités administratives et militaires lorsqu'il était en possession d'informations importantes sur les actions menées ou projetées par Boko Haram.
Samedi, la présidente de RFI Marie-Christine Saragosse avait supplié Yaoundé de mettre un terme au calvaire du journaliste Ahmed Abba, où il a été arrêté le 30 juillet 2015.
kam
La justice lui reproche de ne pas avoir partagé avec les autorités des informations qu'il a collectées sur certains membres du groupe djihadiste, qui mène des attaques dans le nord du Cameroun.
Selon l'avocat du journaliste Me Charles Tchougang, cité par l’AFP, M. Abba informait régulièrement les autorités administratives et militaires lorsqu'il était en possession d'informations importantes sur les actions menées ou projetées par Boko Haram.
Samedi, la présidente de RFI Marie-Christine Saragosse avait supplié Yaoundé de mettre un terme au calvaire du journaliste Ahmed Abba, où il a été arrêté le 30 juillet 2015.
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