Abidjan – Past gouverneur du District 9101 du Rotary Club regroupant 10 pays ouest-africains, Marie Irène Richmond Ahoua, a dressé un bilan satisfaisant de son mandat (juin 2015-juillet 2016) dont elle se dit « heureuse et fière ».
« Notre année s’est avérée fructueuse, inspirante, motivante, pleine d’amitiés et de réalisations et nous pouvons être fiers de nos succès », s’est-elle réjouie vendredi, lors d’un entretien avec l’AIP.
« Je suis particulièrement heureuse d’avoir partagé des moments forts, des moments intenses et riches avec mes amis rotariens, mais aussi avec des partenaires, des personnes de toutes cultures, de toutes conditions sociales rencontrées dans l’exercice de cette mission passionnante », a-t-elle souligné.
A la suite du notaire burkinabé, Martin Ouédraogo, elle a, pendant un an, guidé et soutenu les clubs, spécialement les plus faibles, motivé tous le rotariens à atteindre le objectifs fixés par le président du Rotary international, effectué des visites dans les clubs en vue du renforcement de leurs capacités et rencontré les plus hautes autorités des pays visités.
« Nous avons été nombreux à nous mobiliser pour cette belle campagne du don de soi, emplie de solidarité, de générosité et d’espoir partagés et j’en sais gré à vous tous qui avez su vous rassembler autour de ce défi », dit-elle.
Parmi les activités ayant marqué son mandat, elle cite un séminaire organisé à Dabou (Côte d’Ivoire) sur le développement personnel des jeunes autour du thème « Jeunesse mondiale, paix et développement », les assises annuelles des assemblées et conférences, divers ateliers sur le développement de l’effectif, la fondation, l’image publique et la communication, des rencontres internationales qui lui ont permis de présenter les enjeux et défis du district, le Jubilé des rotariens à la basilique Saint-Pierre de Rome.
Pendant son mandat, « les rotariens du District se sont surpassés. Ils ont utilisé leur temps, leurs ressources et leurs talents avec sagesse et générosité aux fins d’en finir définitivement avec la polio, notre action prioritaire, irriguer des champs désertiques, fournir de l’eau potable, promouvoir l’alphabétisation et l’éducation de base, rapprocher le monde de notre rêve de paix et élargir les horizons des populations vivant dans une extrême précarité ».
Pendant son mandat, 1,9 milliard de FCFA ont été consacrés à ces différents chapitres, dont la lutte contre la maladie à virus Ebola à côté de ses traditionnelles actions humanitaires, tandis que le nombre de membres réunis au sein de 70 clubs est passé de 1 568 à 1 800 dans 80 clubs.
A son successeur, le sénégalais Aristide Tino Adediran, elle dit l’avoir exhorté à poursuivre le recrutement de nouveaux membres parmi les retraités qui « s’ennuient et qui peuvent toujours se rendre utiles », les femmes qui ne représentent que 25% des 1,2 millions de membres dans le monde, les jeunes et anciens bénéficiaires des actions humanitaires et sociales du Rotary, continuer les projets sanitaires engagés (comme les latrines publiques dans les gares et marchés) et le soin de l’image de ce premier club service mondial vieux de 111 ans sujet à des a priori infondés.
Marie Irène Richmond salue le soutien constant des autorités ivoiriennes, dont le président Alassane Ouattara et le Premier ministre Kablan Duncan, au succès de sa mission humanitaire.
Officier dans l’Ordre national, lauréate du Prix de la Fondation Elite à la faveur de la Journée internationale de la femme (Grand Prix de la communication), femme de l’année 2016, Prix de l’As de la communication du marketing et de l’événementiel (ASCOM), Marie Irène Richmond est la première femme et ivoirienne à diriger ce District 9101 du Rotary qui comprend le Burkina-Faso, le Cap-Vert, la Côte d’Ivoire, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Mali, le Sénégal et la Sierra-Leone.
(AIP)
aaa/tm
« Notre année s’est avérée fructueuse, inspirante, motivante, pleine d’amitiés et de réalisations et nous pouvons être fiers de nos succès », s’est-elle réjouie vendredi, lors d’un entretien avec l’AIP.
« Je suis particulièrement heureuse d’avoir partagé des moments forts, des moments intenses et riches avec mes amis rotariens, mais aussi avec des partenaires, des personnes de toutes cultures, de toutes conditions sociales rencontrées dans l’exercice de cette mission passionnante », a-t-elle souligné.
A la suite du notaire burkinabé, Martin Ouédraogo, elle a, pendant un an, guidé et soutenu les clubs, spécialement les plus faibles, motivé tous le rotariens à atteindre le objectifs fixés par le président du Rotary international, effectué des visites dans les clubs en vue du renforcement de leurs capacités et rencontré les plus hautes autorités des pays visités.
« Nous avons été nombreux à nous mobiliser pour cette belle campagne du don de soi, emplie de solidarité, de générosité et d’espoir partagés et j’en sais gré à vous tous qui avez su vous rassembler autour de ce défi », dit-elle.
Parmi les activités ayant marqué son mandat, elle cite un séminaire organisé à Dabou (Côte d’Ivoire) sur le développement personnel des jeunes autour du thème « Jeunesse mondiale, paix et développement », les assises annuelles des assemblées et conférences, divers ateliers sur le développement de l’effectif, la fondation, l’image publique et la communication, des rencontres internationales qui lui ont permis de présenter les enjeux et défis du district, le Jubilé des rotariens à la basilique Saint-Pierre de Rome.
Pendant son mandat, « les rotariens du District se sont surpassés. Ils ont utilisé leur temps, leurs ressources et leurs talents avec sagesse et générosité aux fins d’en finir définitivement avec la polio, notre action prioritaire, irriguer des champs désertiques, fournir de l’eau potable, promouvoir l’alphabétisation et l’éducation de base, rapprocher le monde de notre rêve de paix et élargir les horizons des populations vivant dans une extrême précarité ».
Pendant son mandat, 1,9 milliard de FCFA ont été consacrés à ces différents chapitres, dont la lutte contre la maladie à virus Ebola à côté de ses traditionnelles actions humanitaires, tandis que le nombre de membres réunis au sein de 70 clubs est passé de 1 568 à 1 800 dans 80 clubs.
A son successeur, le sénégalais Aristide Tino Adediran, elle dit l’avoir exhorté à poursuivre le recrutement de nouveaux membres parmi les retraités qui « s’ennuient et qui peuvent toujours se rendre utiles », les femmes qui ne représentent que 25% des 1,2 millions de membres dans le monde, les jeunes et anciens bénéficiaires des actions humanitaires et sociales du Rotary, continuer les projets sanitaires engagés (comme les latrines publiques dans les gares et marchés) et le soin de l’image de ce premier club service mondial vieux de 111 ans sujet à des a priori infondés.
Marie Irène Richmond salue le soutien constant des autorités ivoiriennes, dont le président Alassane Ouattara et le Premier ministre Kablan Duncan, au succès de sa mission humanitaire.
Officier dans l’Ordre national, lauréate du Prix de la Fondation Elite à la faveur de la Journée internationale de la femme (Grand Prix de la communication), femme de l’année 2016, Prix de l’As de la communication du marketing et de l’événementiel (ASCOM), Marie Irène Richmond est la première femme et ivoirienne à diriger ce District 9101 du Rotary qui comprend le Burkina-Faso, le Cap-Vert, la Côte d’Ivoire, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Mali, le Sénégal et la Sierra-Leone.
(AIP)
aaa/tm