Grand-Bassam - Le maire de Grand-Bassam, Georges Philippe Ezaley, a lancé, jeudi, l’opération Grand-Bassam ville propre dans l’intention de faire intérioriser la culture de la salubrité par les populations de la cité balnéaire.
« Nous ne voulons plus que Grand-Bassam soit sale. C’est pourquoi nous demandons aux populations de s’inscrire dans cette initiative à compter d’aujourd’hui », a-t-il lancé, promettant de faire un bilan chaque mois. « Nous ferons chaque mois un bilan pour le suivi de cette opération que nous lançons ce matin et nous comptons sur les cellules de gestion des quartiers et villes pour réussir ce pari », a-t-il dit.
« Notre ville n’est pas semblable aux autres car nous sommes classés au patrimoine mondial de l’Unesco. Et dans cette ville, on rencontre des rues qui incarnent les hautes personnalités de ce pays : le boulevard Alassane Ouattara, la rue Henri Konan Bedié et la rue Daniel Kablan Duncan. Nous ne devons donc pas salir ces rues mais plutôt les préserver. Cette culture de civisme et de la salubrité doit désormais vous caractériser dans notre belle cité ».
Des engins dénommés « les balayeuses » ont donné le ton en s’exerçant devant les populations venues nombreuses assister à la cérémonie.
(AIP)
ko/aaa/akn/kam
« Nous ne voulons plus que Grand-Bassam soit sale. C’est pourquoi nous demandons aux populations de s’inscrire dans cette initiative à compter d’aujourd’hui », a-t-il lancé, promettant de faire un bilan chaque mois. « Nous ferons chaque mois un bilan pour le suivi de cette opération que nous lançons ce matin et nous comptons sur les cellules de gestion des quartiers et villes pour réussir ce pari », a-t-il dit.
« Notre ville n’est pas semblable aux autres car nous sommes classés au patrimoine mondial de l’Unesco. Et dans cette ville, on rencontre des rues qui incarnent les hautes personnalités de ce pays : le boulevard Alassane Ouattara, la rue Henri Konan Bedié et la rue Daniel Kablan Duncan. Nous ne devons donc pas salir ces rues mais plutôt les préserver. Cette culture de civisme et de la salubrité doit désormais vous caractériser dans notre belle cité ».
Des engins dénommés « les balayeuses » ont donné le ton en s’exerçant devant les populations venues nombreuses assister à la cérémonie.
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