Bouaké (Côte d’Ivoire) - Le ministre d’Etat , ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko a prévenu, vendredi, à Bouaké qu’ il « n’y aura pas d’impunité pour Bouaké », faisant allusion aux auteurs des casses et pillages à la suite de la grogne contre la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) qui a viré à des scènes de pillages dans cette localité située à environ 379 km au Nord d’Abidjan.
«La violence n’a jamais fait avancer. Gâter n’est pas du travail», a dénoncé le ministre Hamed Bakayoko à Bouaké lors d’une cérémonie de pardon à la nation et de soutien au Chef de l’Etat Alassane Ouattara en présence des ministres Birahima Téné Ouattara (ministres des affaires présidentielles), Kandia Camara (éducation), Paul Koffi (ministre de l’enseignement technique et de la formation professionnelle).
Par ailleurs, le ministre d’Etat a averti qu’il n’y aura pas d’impunité à la suite de ces événements. «Cette fois-ci on va aller jusqu’au bout. On va faire les enquêtes. Nous avons commencé les auditions. Les langues se délient. Donc il n’y aura pas d’impunité », a-t-il prévenu.
Pour lui, ce qui s’est passé relève « des enjeux politiques et des manipulations politiciennes ».
Plusieurs localités ont connu, il y’ a quelques semaines des échauffourées à la suite d’un mouvement de grogne contre les factures d’électricité émises par la CIE. Celles de Bouaké ont été d’une violence extrême, causant un mort.
CK/sy/ls
«La violence n’a jamais fait avancer. Gâter n’est pas du travail», a dénoncé le ministre Hamed Bakayoko à Bouaké lors d’une cérémonie de pardon à la nation et de soutien au Chef de l’Etat Alassane Ouattara en présence des ministres Birahima Téné Ouattara (ministres des affaires présidentielles), Kandia Camara (éducation), Paul Koffi (ministre de l’enseignement technique et de la formation professionnelle).
Par ailleurs, le ministre d’Etat a averti qu’il n’y aura pas d’impunité à la suite de ces événements. «Cette fois-ci on va aller jusqu’au bout. On va faire les enquêtes. Nous avons commencé les auditions. Les langues se délient. Donc il n’y aura pas d’impunité », a-t-il prévenu.
Pour lui, ce qui s’est passé relève « des enjeux politiques et des manipulations politiciennes ».
Plusieurs localités ont connu, il y’ a quelques semaines des échauffourées à la suite d’un mouvement de grogne contre les factures d’électricité émises par la CIE. Celles de Bouaké ont été d’une violence extrême, causant un mort.
CK/sy/ls